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vendredi 18 novembre 2022
French destroyer Boutefeu
Corvette française_Bayonnaise_(1793)/Corvette française Bayonnaise (1793) :
Bayonnaise était une corvette de 24 canons de la marine française, lancée en 1793. Elle est devenue célèbre pour sa capture du HMS Ambuscade le 14 décembre 1798. Son équipage a détruit Bayonnaise en novembre 1803 pour empêcher sa capture.
Corvette française_Berceau_(1794)/Corvette française Berceau (1794) :
Berceau était une corvette de 22 canons de la marine française, construite selon un plan de Jacques-Noël Sané et lancée en 1794. Les Américains l'ont capturée en 1800 mais l'ont rendue à la France l'année suivante. Elle servit ensuite dans l'océan Indien avant de retourner en Espagne, où elle fut démantelée en 1804.
Corvette française_Betzy_(1793)/Corvette française Betzy (1793) :
Betzy était le brick des îles anglo-normandes Betsey que la frégate française Sémillante captura en mai 1793, que la marine française mit en service et que la Royal Navy reprit en 1796.
Corvette française_Blonde_(1781)/Corvette française Blonde (1781) :
Blonde était une corvette de classe Coquette de la marine française, lancée en 1781. La Royal Navy britannique la captura en 1793 et la vendit en 1794, sans apparemment jamais l'avoir réellement mise en service. Des intérêts commerciaux l'ont achetée et l'ont d'abord nommée prince, mais l'ont ensuite renommée princesse. Elle est devenue baleinière jusqu'à ce qu'un corsaire français la capture en 1796 lors du premier voyage de chasse à la baleine de Princess.
Corvette française_Brune_(1781)/Corvette française Brune (1781) :
Brune était une corvette de 20 canons de classe Coquette de la marine française, lancée en 1781 et capturée en 1799 lors du siège de Corfou, qui a vu une flotte conjointe russe et turque capturer Corfou à une force d'occupation française.
Corvette française_Capricieuse_(1849)/Corvette française Capricieuse (1849) :
La Capricieuse était une corvette tardive de 22 canons de la marine française.
Corvette française_Cr%C3%A9ole_(1829)/Corvette française Créole (1829) :
La Créole était une corvette de classe Créole de 24 canons de la marine française.
Corvette française_C%C3%A9r%C3%A8s_(1795)/Corvette française Cérès (1795) :
Cérès était une corvette de classe Etna de 18 canons de la marine française, lancée en 1795. Commencée en 1794 sous le nom de Courageuse, la corvette fut rebaptisée Cérès en mai 1795 et lancée le même mois. En 1797, elle est de nouveau rebaptisée Enfant de la Patrie. Elle a fait naufrage sur les côtes de la Norvège le 17 février 1798.
Corvette française_Dauphine_(1773)/Corvette française Dauphine (1773) :
La Dauphine était une petite corvette de 4 canons de la Marine française. Elle est remarquable pour l'opération de sauvetage de l'île de Tromelin qui lui a donné son nom actuel, et pour sa participation au Second voyage des Kerguelen. La baie de la Dauphine, dans l'archipel des Kerguelen, est nommée en son honneur.
Corvette française_Diligent_(1781)/Corvette française Diligent (1781) :
Diligent (ou Petit Diligent), était la goélette du Bengal Pilot Service Tannah (ou Tanna), que le chantier naval de Bombay avait lancée en 1775 pour le Bengal Pilot Service de la British East India Company (EIC). La marine française l'a capturé en 1781. Elle est alors devenue une corvette de 10 canons de la marine française, mais a coulé en 1782.
Corvette française_Diligente_(1794)/Corvette française Diligente (1794) :
Diligente était une corvette de classe Naïade de la marine française, lancée en 1794 en tant que brick. Le HMS Crescent l'a capturé aux Antilles en 1800. Les Britanniques l'ont mis en service comme transport de 14 canons et l'ont vendu en 1814.
Corvette française_Diligente_(1801)/Corvette française Diligente (1801) :
Diligente était une corvette de 20 canons de la Marine nationale française, navire de tête de sa classe. Construit à Brest sur plans privés par Pierre Ozanne, il était particulièrement rapide. La marine française a adopté le design et a copié les plans jusqu'en 1848. Armé à l'origine de canons de 6 livres, il a ensuite été réarmé avec des carronades plus lourdes. Elle a continué en service, par intermittence, jusqu'à ce qu'elle soit frappée en 1854.
Corvette française_Dragon/Corvette française Dragon :
La corvette française Le Dragon a été le dernier navire perdu par la France pendant la guerre d'indépendance américaine. On pense d'abord qu'il s'agit de l'ancien brick corsaire de Liverpool Dragon acquis par les Britanniques au large des côtes canadiennes le 31 mai 1778 par capture. (Elle était à l'époque le brigantin corsaire américain Washington, construit à Beverly, Massachusetts le 17 septembre 1776). Mais, d'après un journal de bord et d'autres documents découverts dans les archives françaises de Nantes et de Brest, il apparaît maintenant qu'il s'agissait en fait du corsaire de Guernesey Le Dragon construit comme cotre à Teignmouth en Grande-Bretagne en 1779 et transformé en brick l'année suivante à Torquay. Elle était sous le commandement du capitaine Joseph Row lorsqu'elle fut emmenée au large de la côte nord-ouest de la France par la frégate française La Friponne le 15.09.1781 et amenée au Croisic, puis vendue à la Marine royale française et transformée en corvette pour le capitaine de L'Espine. Lors de son premier voyage à Boston, il a été tellement endommagé par une forte tempête qu'il a dû être équipé d'une nouvelle coque américaine complète avant d'entamer son voyage de retour en France. A Brest, sa coque est gainée de cuivre. Le Dragon, lors de son deuxième voyage aux Antilles, est encerclé et menacé par la grande escadre britannique de l'amiral Hood. Son commandant, le jeune chevalier de l'Espine, n'a d'autre solution que d'échouer son navire entre les récifs de la rade de Monte-Christi, Haïti et de le saborder pour éviter d'être capturé par l'ennemi. Il put alors amener son équipage, son précieux passager-espion et son courrier secret au Cap François, Saint-Domingue le 22 janvier 1783, quelques jours avant la fin de la guerre.
Corvette française_Dromadaire_(1810)/Corvette française Dromadaire (1810) :
Le Dromadaire était un navire-magasin de 24 canons de la Marine française. Le 29 mars 1811, elle quitte Toulon sous l'ensiegne de vaiseeau Morin, transportant de la poudre à canon et des munitions pour Corfou, escortée par les frégates Adrienne et Amélie. Deux jours plus tard, les navires ont croisé un escadron britannique composé du HMS Unite et du HMS Ajax. L'Ajax a capturé Dromadaire, tandis que les frégates ont réussi à s'échapper vers Portoferraio. Le capitaine Otway d'Ajax a rapporté que Dromadaire était une frégate construite et naviguait remarquablement bien. Sa cargaison se composait de 15 000 plombs et obus de différentes tailles et de 90 tonnes de poudre à canon. Apparemment, Napoléon Bonaparte les a destinés comme un cadeau pour Hammuda ibn Ali, le Bey de Tunis.Morin a été acquitté de la perte de son navire le 28 décembre 1811. L'amiral Sir Charles Cotton, commandant en chef de la flotte méditerranéenne britannique, a décidé de l'acheter et ses magasins pour la Royal Navy.
Corvette française_Dupleix/Corvette française Dupleix :
Dupleix était une corvette à vapeur et à voile de la classe Cosmao construite pour la Marine nationale française. Elle a été le premier navire français nommé d'après le gouverneur du XVIIIe siècle de Pondichéry et gouverneur général des possessions françaises en Inde, le marquis Joseph François Dupleix. Après sa mise en service, Dupleix est envoyé en mer de Chine sous les ordres du vice-amiral Jaurès. Elle arriva à Saigon le 25 août 1862 et fit de courtes escales dans les îles Ryukyu et le port de Hakodate sur l'île d'Hokkaidō, avant d'arriver à Yokohama.
Corvette française_D%C3%A9cius_(1795)/Corvette française Décius (1795) :
Décius était une corvette de classe Société populaire lancée en 1795 à Brest. Initialement nommée Doucereuse, elle fut rebaptisée Décius en 1795. La Royal Navy britannique la détruisit en novembre 1796.
Corvette française_D%C3%A9partment_des_Landes_(1804)/Corvette française Département des Landes (1804) :
Le Département des Landes était une corvette de la Marine française, lancée en 1804. Elle fut endommagée en 1814 puis mise hors service. Elle fut finalement démantelée vers 1829-30.
Corvette française_Etna_(1795)/Corvette française Etna (1795) :
L'Etna était un sloop naval français de classe Etna lancé en 1795 que la Royal Navy a capturé en novembre 1796. Il a été mis en service sous le nom de HMS Aetna et renommé HMS Cormorant l'année suivante. Elle a capturé plusieurs navires marchands et corsaires avant de faire naufrage en 1800 au large des côtes égyptiennes.
Corvette française_Exp%C3%A9dition_(1778)/Corvette française Expédition (1778) :
Expédition était à l'origine un cotre civil britannique de 16 canons, soit un marchand, soit un corsaire, que les Français capturèrent en juillet 1778. Ils l'amenèrent au service français en tant que corvette Expédition.
Corvette française_Faune_(1804)/Corvette française Faune (1804) :
Faune était une marine française de classe Abeille brick-corvette lancée en 1804 sur une conception de François Pestel en 1803. Elle a participé à la capture du HMS Blanche en juillet 1805. La Royal Navy a capturé Faune en août 1805. Elle a été mise en service comme HMS Fawn, mais le dernier enregistrement de ses dates à 1806. En 1807, la Royal Navy a lancé un nouveau HMS Fawn.
Corvette française_Fl%C3%A8che_(1768)/Corvette française Flèche (1768) :
Flèche était une corvette française construite par Louis-Hilarion Chapelle (cadet) et lancée à Toulon en 1768. Les Britanniques la capturèrent à la chute de Bastia en mai 1794 et la mirent en service dans la Royal Navy sous son nom actuel. Il a observé la bataille navale des îles d'Hyères, mais a ensuite fait naufrage en 1795.
Corvette française_Forfait/Corvette française Forfait :
Forfait était une corvette à vis non blindée construite pour la marine française à la fin des années 1850 qui est entrée en service en 1860. Elle a servi lors de l'intervention française au Mexique dans les années 1860 et a été coulée dans une collision en 1875.
Corvette française_Fraternit%C3%A9_(1793)/Corvette française Fraternité (1793) :
La corvette française Fraternité était une corvette de classe Naïade lancée en 1793. Elle a eu une brève carrière de navigateur. En mai 1795, elle est rebaptisée Festin. Elle a ensuite servi dans un certain nombre de rôles non opérationnels jusqu'à ce qu'elle soit frappée en 1813.
Corvette française_G%C3%A9ographe/Corvette française Géographe :
Géographe était une corvette de classe Serpente de 20 canons de la marine française. Elle est nommée Uranie en 1797, et rebaptisée Galatée en 1799, toujours sur son chantier. Son constructeur a refusé de la lancer, car il n'avait pas été payé à ce moment-là. Enfin lancé en juin 1800, il est rebaptisé Géographe le 23 août 1800. Le 19 octobre 1800, sous les ordres du capitaine Nicolas Baudin, il quitte Le Havre avec Naturaliste pour une exploration de l'Australie. Elle emportait nombre d'érudits, peintres et dessinateurs, ainsi qu'Anselme Riedlé, le jardinier, qui avait déjà accompagné Baudin lors d'une précédente expédition, et Charles Alexandre Lesueur, un artiste. Les deux navires ont atteint Tenerife le 13 novembre. Ils traversèrent ensuite l'équateur le 11 décembre et arrivèrent à l'Ile de France (Maurice), le 16 mars 1801. Pendant environ 18 mois, Naturaliste et Géographe explorèrent les régions moins connues de la Nouvelle-Hollande (Australie) et de la Terre de Van Diemen. Le 30 mai, Baudin fait sa première grande découverte. Baudin a nommé la baie qu'ils ont trouvée ce jour-là sur la côte de l'ouest de l'Australie Geographe Bay. Plus tard, le cap au sud de la baie fut nommé Cap Naturaliste. Riedlé mourut à Timor le 21 octobre 1801 où il récoltait des spécimens dans la région de Kupang. Lasueur, avec François Péron, a repris les fonctions de naturaliste après la mort du zoologiste de l'expédition René Maugé. Ensemble, Lasueur et Maugé ont collecté plus de 100 000 spécimens zoologiques. En 1802, Lasueur réalise les seuls croquis connus de l'émeu de l'île King dans son habitat naturel (l'oiseau s'est éteint en 1822). À la fin de 1802, l'expédition était à Port Jackson, où le gouvernement vendit 60 tonneaux de farine et 25 tonneaux de viande salée à Baudin pour réapprovisionner ses deux navires. Les approvisionnements permirent à Naturaliste de rentrer en France et à Géographe de poursuivre ses explorations de la côte australienne. Géographe retourna au Havre le 23 mars 1804, sous les ordres du capitaine de frégate Milius, car Baudin était mort de tuberculose à Maurice pendant l'expédition. Après son retour, son armement a été régulièrement réduit. A partir de 1807, elle sert comme poudrière dans le quartier du Caudran à Lorient. L'année suivante, il est devenu un navire de caserne. En octobre 1811, Géographe remplace la Société comme siège social de Lorient. Géographe a été mis hors service en décembre 1807, mais a continué à être utilisé comme navire de service.
Corvette française_Heure_du_Berger_(1767)/Corvette française Heure du Berger (1767) :
L'Heure du Berger était une petite corvette de la marine française. Elle est remarquable pour avoir découvert une nouvelle route de Maurice à l'Inde.
Corvette française_Hussard_(1799)/Corvette française Hussard (1799) :
La corvette française de 20 canons Hussard (ou Hussar) a été lancée en 1799 et les Britanniques l'ont capturée la même année lorsqu'ils ont capturé le Suriname. La Royal Navy l'a mise en service en tant que HMS Surinam, car il y avait déjà un HMS Hussar. Les Néerlandais l'ont capturée en 1803, la nommant Suriname, mais les Britanniques l'ont reprise en 1807 et l'ont envoyée en Grande-Bretagne. Par la suite, elle n'a plus jamais servi en service actif. Elle disparut des listes de la Marine en 1809, mais son sort est inconnu.
Corvette française_Iris_(1806)/Corvette française Iris (1806) :
Iris était une corvette de 20 canons de la marine française. La Royal Navy l'a capturée en 1809 et l'a mise en service sous le nom de HMS Rainbow. Elle a été vendue en 1815.
Corvette française_Jalouse_(1794)/Corvette française Jalouse (1794) :
Jalouse était une corvette de 18 canons de classe Belliqueuse de la marine française , construite selon une conception de Pierre-Alexandre-Laurent Forfait et lancée en 1794 à Honfleur . La Royal Navy l'a capturée en mai 1797 et l'a mise en service sous son nom actuel. Au service britannique, elle a servi principalement sur la station de la mer du Nord où elle a capturé trois petits corsaires français et de nombreux navires marchands néerlandais. Elle a également participé avec d'autres navires de guerre britanniques à deux ou trois grandes expéditions de découpe. Elle a été démantelée en 1807.
Corvette française_La_Bastiaise/Corvette française La Bastiaise :
La Bastiaise était une corvette de la classe Flower de la Marine nationale française. Le navire a été construit par le chantier naval britannique Smiths Dock dans leur chantier naval de Middlesbrough, et a été achevé en juin 1940, juste avant l'armistice français avec l'Allemagne. Il est coulé par une mine le 22 juin 1940 lors d'essais en mer. Le nom La Bastiaise était en l'honneur des habitants de la ville de Bastia, en Corse.
Corvette française_Lawriston_(1778)/Corvette française Lawriston (1778) :
Lawriston était une corvette de 22 canons de la marine française.
Corvette française_Lynx_(1804)/Corvette française Lynx (1804) :
Lynx (ou Linx) était un brick de 16 canons de la marine française, nom du navire de sa classe de bricks à deux navires, et lancé à Bayonne le 17 avril 1804. Les Britanniques l'ont capturée en 1807 et l'ont nommée HMS Heureux. Après un service dans les Caraïbes qui a valu à son équipage deux médailles, dont une pour une action en bateau au cours de laquelle son capitaine a été tué, il a été désarmé en 1810 et vendu en 1814.
Corvette française_Mignonne_(1795)/Corvette française Mignonne (1795) :
Mignonne était une corvette de classe Etna de 18 canons de la marine française, lancée en 1795. Elle a servi jusqu'en 1803, date à laquelle les Britanniques l'ont capturée. Bien qu'elle ait servi brièvement, il n'y a aucune trace de sa mise en service dans la Royal Navy; elle échoue et est condamnée en 1804.
Corvette française_Moineau_(1794)/Corvette française Moineau (1794) :
Moineau était l'ancien navire marchand Spartiate, que la marine française réquisitionna pour servir de corvette de 16 canons sur la station d'Île de France entre 1794 et 1797.
Corvette française_Mutine_(1799)/Corvette française Mutine (1799) :
Mutine était le nom du navire de sa classe de corvettes à deux navires conçues par Charles-Henri Tellier. Elle reçut l'ordre de Nouvelle en 1797, mais reçut le nom de Mutine lors de son lancement en mai 1799. Elle fit naufrage près de Santiago de Cuba le 17 août 1803 à la suite d'une action à un seul navire avec le HMS Racoon .
Corvette française_Naturaliste/Corvette française Naturaliste :
Naturaliste était l'un des deux navires de la classe Salamandre de galiotes à bombes de la marine française. Sous Jacques Hamelin, et avec Géographe, elle participe à l'exploration de l'Australie de Nicolas Baudin.
Corvette française_Na%C3%AFade_(1780)/Corvette française Naïade (1780) :
Naïade était une corvette de classe Coquette de 20 canons. Elle a participé au théâtre indien de la guerre anglo-française avec l'escadron sous Suffren. La Royal Navy britannique l'a capturée en 1783 mais ne l'a jamais commandée; il la vendit en 1784.
Corvette française_Na%C3%AFade_(1793)/Corvette française Naïade (1793) :
La corvette française Naïade a été lancée à Brest en 1793 en tant que brick-corvette pour la marine française. La Royal Navy l'a capturée en 1805 et l'a mise en service sous le nom de HMS Melville. Elle fut vendue pour rupture en 1808.
Corvette française_Perdrix_(1784)/Corvette française Perdrix (1784) :
Perdrix était une corvette de la Royal Navy française, lancée en 1784. Les Britanniques la capturèrent au large d'Antigua en 1795 et elle servit brièvement dans la Royal Navy aux Antilles, où elle captura un corsaire français, avant d'être démantelée en 1798.
Corvette française_Per%C3%A7ante_(1795)/Corvette française Perçante (1795) :
Perçante était un navire-corvette de 20 canons de la marine française, construit à Bayonne et lancé en 1795. Les Britanniques l'ont capturée en 1796 et l'ont emmenée dans la Royal Navy sous le nom de HMS Jamaica. Ils l'ont classée comme une frégate de 26 canons de sixième rang. Elle a servi pendant les guerres de la Révolution française et une partie des guerres napoléoniennes, au cours desquelles elle a capturé des corsaires et participé à une attaque de bateau. L'Amirauté la fit désarmer en 1810 et la vendit en 1814.
Corvette française_Poulette_(1781)/Corvette française Poulette (1781) :
Poulette était une corvette française de classe Coquette construite sur un dessin de Joseph-Marie-Blaise Coulomb et lancée en mars 1781. Elle servit la marine française jusqu'en 1793, date à laquelle les Britanniques la capturèrent à Toulon en 1793. Elle servit brièvement dans la Royal Navy, notamment à la bataille de Gênes en 1795, jusqu'à ce qu'elle soit brûlée en octobre 1796 pour l'empêcher de tomber aux mains des Français.
Corvette française_Prony/Corvette française Prony :
Prony était un navire de guerre corvette de la marine française pendant la guerre civile américaine qui s'est échoué et a été perdu au large d'Ocracoke Inlet, en Caroline du Nord. Il s'est avéré impossible de renflouer le navire et les efforts d'assistance ont été entravés à la fois par les conditions météorologiques et par le fait qu'il s'était échoué dans une zone où les forces de l'Union et des Confédérés s'opposaient.
Corvette française_Republicaine_(1795)/Corvette française Republicaine (1795) :
La corvette française Républicaine (AKA Republican and Republique) était un navire marchand lancé en 1793 que la marine française a réquisitionné en 1795 à Grenade. Le 14 octobre 1795, Mermaid la captura dans les îles sous le vent. La Royal Navy a mis Republicaine en service sous le nom de HMS Republican (ou Republicaine), un lougre de 18 canons. Il n'est pas clair que le républicain ait jamais été commandé. La Marine l'a vendu à Grenade en 1803.
Corvette française_Revenant/Corvette française Revenant :
Revenant était une corvette corsaire de 20 canons, lancée en 1807 et conçue par Robert Surcouf pour les raids commerciaux. La marine française l'a réquisitionnée plus tard et l'a rebaptisée Iéna, après la récente victoire de Napoléon à la bataille d'Iéna-Auerstedt. Les Britanniques l'ont capturée en 1808 et elle a servi dans la Royal Navy en tant que HMS Victor. La marine française le reprend en 1809 et le remet en service sous le nouveau nom. Les Britanniques l'ont de nouveau capturée lorsqu'ils ont pris l'île de France (aujourd'hui Maurice) en décembre 1810. Ils ne l'ont pas remise en service et elle a ensuite été démantelée.
Corvette française_Robuste_(1793)/Corvette française Robuste (1793) :
La corvette française Robuste était un navire construit à Nantes en 1789 comme négrier qui effectua son premier et unique voyage de traite en 1789-90. La marine française l'acheta en décembre 1793 et il servit comme corvette de 22 canons dans la Manche. Les Britanniques l'ont capturée en 1796 et l'ont emmenée dans la Royal Navy en tant que HMS Scourge. Elle a capturé un certain nombre de corsaires français, principalement aux Antilles, avant que la marine ne la vende en 1802.
Corvette française_Roselys/Corvette française Roselys :
Roselys (anciennement HMS Sundew) était l'une des neuf corvettes de la classe Flower prêtées par la Royal Navy aux Forces navales françaises libres. Elle a servi comme escorte navale pendant la Seconde Guerre mondiale.
Corvette française_R%C3%A9olaise/Corvette française Réolaise :
Réolaise était un navire-corvette de 20 canons de la Marine française. À l'origine un marchand britannique, elle a été construite en Angleterre, et capturée par les Français et mise en service naval en 1793. Elle a servi d'escorte de convoi jusqu'à ce qu'elle s'échoue au combat en 1800 à Port Navalo ; son équipage l'a sabordée par le feu.
Corvette française_Sans_Pareille_(1798)/Corvette française Sans Pareille (1798) :
Sans Pareille était un corsaire que la marine française a acheté sur les stocks en 1797 ou 1798, et qui a été lancé en 1798. La Royal Navy l'a capturée en 1801 au large de la Sardaigne, mais l'a abandonnée lorsqu'elle a atteint la Grande-Bretagne en 1802. Elle a été vendue en 1805.
Corvette française_Sardine_(1771)/Corvette française Sardine (1771) :
Sardine était une corvette de la marine française, lancée en 1771. La Royal Navy l'a capturée au siège de Toulon mais les Français l'ont reprise lorsque la force anglo-espagnole s'est retirée. La Royal Navy l'a capturée à nouveau en 1796. Elle a ensuite servi comme HMS Sardine jusqu'à ce que la Royal Navy la vende en 1806.
Corvette française_Sphinx_(1829)/Corvette française Sphinx (1829) :
Le Sphinx était un bateau à aubes, initialement considéré comme une corvette, de la marine française et le premier navire de sa classe. Elle était le premier bateau à vapeur naval français opérationnel. Elle a participé à l'invasion d'Alger en 1830, pionnière du rôle des bateaux à vapeur dans les marines du milieu du XIXe siècle, et a ensuite participé au transfert de l'obélisque de Louxor d'Égypte à Paris.
Corvette française_Subtile_(1777)/Corvette française Subtile (1777) :
Subtile était une corvette de 24 canons de la Marine française
Corvette française_Surveillant_(1801)/Corvette française Surveillant (1801) :
Le Surveillant était un brick de 16 canons de la Marine française, construit en 1799, lancé l'année suivante, et mis en service en 1801. Il participa à l'expédition de L'Hermite avant de revenir en France porteur de dépêches. Elle a été démolie en 1811.
Corvette française_Sylphe_(1804)/Corvette française Sylphe (1804) :
Sylphe était une corvette de 16 canons de la classe Abeille de la marine française. La classe a été construite selon un plan de François Pestel. Les Britanniques l'ont capturée en 1807 et l'ont emmenée dans la Royal Navy en tant que HMS Seagull, mais ne l'ont apparemment jamais utilisée à quelque titre que ce soit. Elle fut vendue en 1814.
Corvette française_Sylphide_(1763)/Corvette française Sylphide (1763) :
Sylphide (également écrit Silphide) était une corvette de 12 canons de la marine française.
Corvette française_Torche_(1795)/Corvette française Torche (1795) :
Torche était un navire-sloop de la classe Etna de la marine française lancé en 1795. Elle participa à l'action du 19 juillet 1805, la Royal Navy la capturant un mois plus tard, en août. Elle a été mise en service sous le nom de HMS Torch mais n'a jamais été mise en service et a été démantelée en 1811.
Corvette française_Var_(1806)/Corvette française Var (1806) :
Var était une corvette de la marine française, lancée en 1806 sous le nom de navire de sa classe de flûtes. Elle a servi de magasin jusqu'à ce que les Britanniques la capturent en 1809. Elle est devenue le transport HMS Chichester et a fait naufrage en 1811.
Corvette française_V%C3%A9nus_(1794)/Corvette française Vénus (1794) :
Vénus était une corvette de la marine française que les Britanniques capturèrent en 1800. Rebaptisée HMS Scout, elle servit brièvement dans la Manche avant de faire naufrage en 1801, quelques jours après avoir remporté une importante prise.
Corvette française_V%C3%A9suve_(1795)/Corvette française Vésuve (1795) :
Vésuve était une corvette de classe Etna de 18 canons de la marine française, lancée en 1795. Elle a été mise hors service en 1815 et démantelée en 1830.
Corvette française_%C3%89tonnante_(1795)/Corvette française Étonnante (1795) :
L'Étonnante était une corvette de classe Etna de 18 canons de la marine française, lancée en 1795. Elle a été retirée de la marine en 1804 et encaissée en 1806.
Créole français/Créole français :
Le créole français peut faire référence à : LangueLangues créoles basées sur le français, langues créoles basées sur la langue française Petites Antilles Créole haïtien, une langue créole avec un vocabulaire basé sur le français parlé en Haïti Créole de Louisiane Patois, une langue créole basée sur le français parlée en LouisianePeuple et culturesCréoles français un groupe ethnique historique d'ascendance française né dans les territoires coloniaux de l'Ouest français hors de France Créoles de color , un groupe ethnique historique d'ascendance raciale mixte né dans les territoires coloniaux de l'ouest français hors de France Louisiane créole, descendants des colons de la Louisiane, en particulier français et espagnols. Un type de taco habituellement servi en Guyane françaiseAutres utilisationsNavire français Créole, six navires de la marine française
Cricket français/cricket français :
Le cricket français est une forme de cricket qui crée un jeu similaire au catch. Le jeu peut être joué socialement lors de pique-niques et de fêtes ou dans les parcs et les plages. C'est une forme de cricket qui peut inclure des enfants d'âges variés. Tous les participants n'ont pas besoin d'être pleinement impliqués, et les spectateurs peuvent faire une prise et avoir une batte (de manière informelle).
Croiseur français_Alger/Croiseur français Alger :
Alger était le seul membre de sa classe de croiseur protégé construit pour la marine française à la fin des années 1880 et au début des années 1890. Alger a été commandé pendant le mandat de l'amiral Théophile Aube comme ministre de la Marine selon les théories de la doctrine de la Jeune École. Le navire était conçu comme un raider commercial à longue portée, et il était armé d'une batterie principale de quatre canons de 164 mm (6,5 po), était protégé par un pont blindé de 50 à 100 mm (2 à 4 po) d'épaisseur, et était capable de naviguer à une vitesse maximale de 19,5 nœuds (36,1 km / h; 22,4 mph). Alger a servi dans l'escadron du Nord au début de sa carrière, où elle a participé à des exercices d'entraînement de routine en temps de paix. En 1895, elle a été déployée en Indochine française, retournant en France en 1897 pour un passage avec l'escadron méditerranéen. Placée en réserve en 1901, elle resta hors service pendant plusieurs années. Signale un conflit sur ses activités au milieu des années 1900, avec des rapports contemporains la plaçant en Méditerranée pour des manœuvres de flotte, tandis que des historiens ultérieurs déclarent que le navire effectuait une deuxième tournée en Asie de l'Est à partir de 1905. Tous deux conviennent qu'Alger a servi dans les eaux asiatiques à la fin en 1908. Le navire a été réduit à une carcasse de stockage en 1911 et est resté dans l'inventaire de la flotte jusqu'en 1939, date à laquelle il a été démantelé.
Croiseur français_Alg%C3%A9rie/Croiseur français Algérie :
L'Algérie a été le dernier croiseur de traité construit pour la marine française. Conçu et construit en réponse à la classe italienne Zara de croiseurs à canon de 8 pouces, il s'agissait d'une conception totalement nouvelle et non basée sur les navires précédents. Le système de caissons blindés utilisé à Foch et Dupleix a été abandonné au profit d'une ceinture blindée complète enfermant à la fois les magasins et les locaux des machines. Elle a abandonné le système de propulsion unitaire utilisé auparavant et a regroupé ses chaudières vers l'avant conduisant à la réduction à une seule cheminée. Elle a été l'un des premiers navires à utiliser des chaudières de super chauffage. Le soudage a été utilisé principalement à la place du rivetage normal dans les navires précédents. Elle a conservé le même armement principal mais ses canons secondaires ont été augmentés à des canons de 100 mm. Elle a servi en mer Méditerranée après son entrée en service puis a recherché des raiders de surface allemands au début de la guerre. Elle était à Toulon, en France, au moment de l'Armistice et y est restée jusqu'à ce qu'elle soit sabordée en novembre 1942. Normalement, les principaux navires de la Marine Nationale portaient le nom de personnes célèbres ou d'hommes d'État, mais elle a plutôt été nommée pour honorer les 100 ans de la domination coloniale française. d'Algérie.
Croiseur français_Amiral_Aube/Croiseur français Amiral Aube :
Le croiseur français Amiral Aube était l'un des cinq croiseurs cuirassés de classe Gloire construits pour la Marine nationale française au début des années 1900. Équipés d'un armement mixte de canons de 194 millimètres (7,6 pouces) et de 164,7 millimètres (6,5 pouces), les navires ont été conçus pour servir avec la flotte de combat. Achevé en 1904, l'Amiral Aube rejoint ses navires jumeaux dans l'Escadron du Nord (Escadre du Nord). Contrairement à ses sœurs, le croiseur est resté dans l'escadron du Nord jusqu'à ce qu'il soit placé en réserve à la mi-1911. Le navire est réactivé au début de 1914 et est affecté au 2nd Light Squadron (2e Escadre légère), car les unités basées dans le nord-ouest de la France ont été renommées, ainsi que deux de ses sœurs. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate en août 1914, elle est chargée de patrouiller dans la Manche pour faire respecter le blocus de l'Allemagne. L'Amiral Aube a été transférée en Méditerranée orientale à la fin de 1915 où elle a patrouillé au large des côtes du territoire sous contrôle ottoman. Pour aider à protéger la navigation alliée des raids commerciaux allemands, le navire a été transféré aux Antilles françaises à la mi-1916. Début 1918, l'Amiral Aube est brièvement affecté à l'escorte des convois des Antilles vers l'Europe. Le navire a été envoyé à Mourmansk en mars pour soutenir les forces alliées lorsqu'elles sont intervenues dans la guerre civile russe. De retour au pays en octobre, elle rejoint ses sœurs dans la Division de l'Atlantique au début de 1919. L'Amiral Aube est mis en réserve en 1920 et vendu à la ferraille quatre ans plus tard.
Croiseur français_Amiral_Charner/croiseur français Amiral Charner :
L'Amiral Charner était un croiseur cuirassé construit pour la marine française (Marine Navale) dans les années 1890, le nom du navire de sa classe. Elle a passé la majeure partie de sa carrière en Méditerranée, bien qu'elle ait été envoyée en Chine lors de la rébellion des boxeurs de 1900-1901. Le navire a été affecté à l'escadron international au large de l'île de Crète lors de la révolte de 1897-1898 et de la guerre gréco-turque de 1897 pour protéger les intérêts et les citoyens français. L'Amiral Charner a passé la majeure partie de la première décennie du XXe siècle comme navire-école ou en réserve. Le navire a été remis en service au début de la Première Guerre mondiale en 1914 et a escorté des convois pendant plusieurs mois avant d'être affecté en Méditerranée orientale pour bloquer la côte sous contrôle ottoman. Pendant ce temps, elle a aidé à sauver plusieurs milliers d'Arméniens de Syrie pendant le génocide arménien de 1915. L'Amiral Charner a été coulé au début de 1916 par un sous-marin allemand, avec un seul survivant sauvé.
Croiseur français_Amiral_C%C3%A9cille/Croiseur français Amiral Cécille :
L'Amiral Cécille était un croiseur protégé de la Marine française, nommé en l'honneur de Jean-Baptiste Cécille. Troisième navire de ce type construit en France, sa conception est dérivée de ses deux prédécesseurs, le Sfax et le Tage. Comme ces navires, l'Amiral Cécille était destiné à être utilisé comme raider commercial pour attaquer la marine marchande. En tant que telle, elle transportait un gréement de barque pour compléter ses machines à vapeur pour les longs voyages outre-mer. L'Amiral Cécille était armé d'une batterie principale de huit canons de 164 mm (6,5 po) et avait un pont blindé incurvé de 56 à 102 mm (2,2 à 4 po) d'épaisseur. Amiral Cécille a eu une carrière relativement calme. Elle a passé le début des années 1890 avec la flotte principale de l'escadron méditerranéen, où elle était principalement occupée par des exercices d'entraînement. Après avoir été révisé au milieu des années 1890, il a été transféré à l'escadron de réserve en Méditerranée, où il a continué à participer à des manœuvres d'entraînement. Le navire s'est détaché pour rejoindre la division navale de l'océan Atlantique en 1899, où il a servi pendant les trois années suivantes. Rappelé chez lui en 1902, il n'a plus connu de service actif et il a été encombré en 1907, avant d'être démantelé en 1919.
Croiseur français_Ar%C3%A9thuse/croiseur français Aréthuse :
L'Aréthuse était un croiseur non protégé construit pour la marine française. Le navire a été posé en 1879 et achevé en 1885. Destiné à servir de raider commercial à longue portée, le navire était équipé d'un gréement à voile pour compléter sa machine à vapeur lors de longs voyages, et il transportait un armement de quatre 165 mm ( 6,5 pouces) et vingt-deux canons de 140 mm (5,5 pouces). Il faisait partie des derniers croiseurs français non protégés, remplacés par la suite par des croiseurs protégés plus durables. Le navire a servi avec la flotte principale en mer Méditerranée en 1886 avant d'être affecté à des patrouilles avec l'escadron de l'Atlantique Sud, servant de navire amiral de l'unité. Aréthuse avait été transféré à l'escadron de l'Atlantique Nord en 1890 et a été largement modernisé en 1891–1892. Un autre passage avec l'escadron de l'Atlantique Nord a suivi de 1893 à 1895, et en 1899, elle a été réduite à une carcasse. Aréthuse servit brièvement de quartier général à l'unité de défense côtière basée à Landévennec, mais fut démantelée en 1901.
Croiseur français_Bruix/Croiseur français Bruix :
Le Bruix était l'un des quatre croiseurs cuirassés de la classe Amiral Charner construits pour la marine française (Marine Navale) dans les années 1890. Elle a servi dans l'océan Atlantique, la Méditerranée et en Extrême-Orient avant la Première Guerre mondiale. En 1902, elle a aidé les survivants de l'éruption dévastatrice de la montagne Pelée sur l'île de la Martinique et a passé plusieurs années comme garde en Crète, protégeant les intérêts français dans la région au début des années 1910. Au début de la guerre en août 1914, Bruix est affecté à la protection des convois de troupes de l'Afrique du Nord française vers la France avant d'être transféré dans l'Atlantique pour soutenir les opérations alliées contre la colonie allemande de Kamerun en septembre. Elle a été brièvement affectée pour soutenir les opérations alliées dans les Dardanelles au début de 1915 avant de commencer à patrouiller dans la mer Égée et les eaux territoriales grecques. Le navire a été désarmé en Grèce au début de 1918 et remis en service après la fin de la guerre en novembre pour servir en mer Noire contre les bolcheviks. Bruix est rentré chez lui plus tard en 1919 et a été réduit en réserve avant d'être vendu à la ferraille en 1921.
Croiseur français_Bugeaud/Croiseur français Bugeaud :
Bugeaud [by.ɡo] était un croiseur protégé de classe Friant de la marine française construit dans les années 1890, le deuxième des trois navires de la classe. Les croiseurs de classe Friant ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte. À l'époque, la France était préoccupée par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande, et les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Le Bugeaud et ses deux navires jumeaux étaient armés d'une batterie principale de six canons de 164 mm (6,5 po), étaient protégés par un pont blindé de 30 à 80 mm (1,2 à 3,1 po) d'épaisseur et étaient capables de cuire à la vapeur au sommet. vitesse de 18,7 nœuds (34,6 km / h; 21,5 mph). Bugeaud a d'abord été affecté à l'escadron méditerranéen après son achèvement en 1896 avant d'être transféré pour servir de navire amiral de la division du Levant en Méditerranée orientale. Pendant ce temps, elle a participé à l'escadron international qui est intervenu dans la révolte crétoise de 1897-1898. Bugead a été envoyée en Asie de l'Est en 1900 en réponse au soulèvement des boxeurs dans la Chine Qing, où elle est restée pendant plusieurs années. Les installations du chantier naval étaient médiocres et une révision effectuée en 1903 a duré plus de six mois; même après, Bugeaud était en mauvais état, et elle fut rayée du registre naval en 1907 puis démantelée.
Croiseur français_Casabianca/Croiseur français Casabianca :
Casabianca était le troisième et dernier membre de la classe D'Iberville de croiseurs torpilleurs construits pour la marine française dans les années 1890. La classe est aussi parfois classée comme canonnières torpilles ou avisos torpilles. Les navires de la classe D'Iberville étaient un développement des croiseurs torpilleurs antérieurs, la principale amélioration étant une vitesse nettement plus élevée. Casabianca était armé de trois tubes lance-torpilles de 450 mm (17,7 pouces) et d'un seul canon de 100 mm (3,9 pouces) comme armement offensif principal. Le navire a servi dans l'escadron méditerranéen pendant la majeure partie de sa carrière en temps de paix, après son achèvement en 1896. Pendant ce temps, ses principales activités consistaient en des manœuvres annuelles de la flotte menées chaque été. Elle avait été stationnée comme navire de garde à Tunis , en Tunisie française en 1901, avant de retourner à l'escadron méditerranéen en 1903. Elle a ensuite été convertie en poseur de mines en 1913 et a servi à ce titre pendant la Première Guerre mondiale. Casabianca a accidentellement heurté l'un des ses propres mines lors d'une opération au large de Smyrne le 3 juin 1915, coulant avec la perte de la moitié de son équipage. Soixante-six survivants ont été secourus par un destroyer britannique à proximité.
Croiseur français_Cassard/Croiseur français Cassard :
Le Cassard était un croiseur protégé de classe D'Assas construit pour la marine française dans les années 1890. Les croiseurs de classe D'Assas ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte à un moment où le pays était préoccupé par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande. Les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Cassard était armé d'une batterie principale de six canons de 164 mm (6,5 po), était protégé par un pont blindé de 70 à 80 mm (2,8 à 3,1 po) d'épaisseur et était capable de naviguer à une vitesse maximale de 20 nœuds ( 37 km/h ; 23 mph). Cassard est entré en service en 1898, rejoignant l'escadron méditerranéen, où il a servi pendant les années suivantes. Au cours de cette période, elle était principalement occupée par des exercices d'entraînement de routine. Elle avait été réduite à la flotte de réserve en 1905, bien qu'elle ait été réactivée en 1908 pour un déploiement au Maroc français. Au début de la Première Guerre mondiale en 1914, elle a d'abord opéré à partir du Maroc, patrouillant pour les sous-marins allemands. En septembre, elle a bombardé des villages locaux au Maroc pour réprimer les défis à la domination coloniale française. Le navire a ensuite été transféré en Méditerranée occidentale et en mer Rouge, avec un déploiement dans l'océan Indien en 1917. Après la guerre, le Cassard a été partiellement désarmé et converti en navire-école de tir, bien qu'il ait été rayé du registre naval en 1924. , échoué pour être utilisé comme navire cible, puis vendu à la ferraille en 1925.
Croiseur français_Cassini/Croiseur français Cassini :
Cassini était le deuxième membre de la classe D'Iberville de croiseurs torpilleurs construits pour la marine française dans les années 1890. La classe est aussi parfois classée comme canonnières torpilles ou avisos torpilles. Les navires de la classe D'Iberville étaient un développement des croiseurs torpilleurs antérieurs, la principale amélioration étant une vitesse nettement plus élevée. Cassini était armé de trois tubes lance-torpilles de 450 mm (17,7 pouces) et d'un seul canon de 100 mm (3,9 pouces) comme armement offensif principal.
Croiseur français_Catinat/croiseur français Catinat :
Catinat était le navire de tête de la classe Catinat de croiseurs protégés construits pour la marine française dans les années 1890. Les croiseurs de classe Catinat ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte à un moment où le pays était préoccupé par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande. Les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Catinat était armé d'une batterie principale de quatre canons de 164 mm (6,5 po), était protégé par un pont blindé de 25 à 60 mm (0,98 à 2,36 po) d'épaisseur et était capable de cuire à la vapeur à une vitesse maximale de 20 nœuds (37 km/h ; 23 mph). Achevé en 1898, Catinat a d'abord servi avec l'escadron du Nord, où elle a mené des exercices d'entraînement avec le reste de l'unité. Elle a servi dans l'unité pendant moins d'un an avant d'être réduite à la flotte de réserve. Elle a été affectée à l'océan Indien en 1901, y restant pendant plusieurs années. En 1906, elle avait été transférée dans les colonies françaises du Pacifique. Sa carrière à l'étranger s'est déroulée sans incident et, en 1911, elle a été rayée du registre naval puis vendue à la ferraille.
Croiseur français_Chanzy/Croiseur français Chanzy :
Chanzy était un croiseur cuirassé de classe Amiral Charner construit pour la marine française (Marine Navale) dans les années 1890. À la fin, elle a servi dans l'escadron méditerranéen et elle a été affectée à l'escadron international au large de l'île de Crète pendant le soulèvement de 1897–1898 et la guerre gréco-turque de 1897 pour protéger les intérêts et les citoyens français. Le navire a été en réserve pendant plusieurs années au milieu de la première décennie du XXe siècle avant d'être transféré en Indochine française en 1906. Chanzy s'est échoué au large des côtes chinoises au milieu de l'année 1907, où il s'est avéré impossible à renflouer et a été détruit. en place après que son équipage a été secouru sans perte.
Croiseur français_Chasseloup-Laubat/Croiseur français Chasseloup-Laubat :
Le Chasseloup-Laubat était un croiseur protégé de la classe Friant construit dans les années 1890 pour la Marine nationale, le dernier des trois navires de la classe. Les croiseurs de classe Friant ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte. À l'époque, la France était préoccupée par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande, et les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Le Chasseloup-Laubat et ses deux navires jumeaux étaient armés d'une batterie principale de six canons de 164 mm (6,5 po), étaient protégés par un pont blindé de 30 à 80 mm (1,2 à 3,1 po) d'épaisseur et étaient capables de cuire à la vapeur à une vitesse de pointe de 18,7 nœuds (34,6 km / h; 21,5 mph). Chasseloup-Laubat a passé son début de carrière dans l'Escadron Nord, qui était basé dans la Manche. Au cours de cette période, son temps a été principalement occupé à effectuer des exercices d'entraînement. Elle a été envoyée en Asie de l'Est en réponse au soulèvement des boxeurs en Chine Qing en 1901, et elle y est restée jusqu'en 1902. Chasseloup-Laubat était revenue en France à un moment donné avant 1907, et elle a participé à une visite aux États-Unis cette année-là. pour l'Exposition de Jamestown. Elle a servi avec l'escadron du Nord en 1908, a été encaissée en 1911 et désarmée en 1913. Après le début de la Première Guerre mondiale en 1914, le Chasseloup-Laubat a été converti en navire distillateur pour soutenir la principale flotte française à Corfou. Elle a finalement été coulée en 1926 dans la baie de Nouadhibou, en Mauritanie.
Croiseur français_Ch%C3%A2teaurenault/Croiseur français Châteaurenault :
Châteaurenault a été le nom d'un certain nombre de navires de la marine française, en l'honneur de François Louis de Rousselet, marquis de Châteaurenault : croiseur français Châteaurenault (1868) - croiseur de seconde classe, présent à la bataille de Fuzhou (1884) croiseur français Châteaurenault (1898), un croiseur protégé, le croiseur français Châteaurenault (D 606), le croiseur italien reconstruit Attilio Regolo, un croiseur de classe Capitani Romani.
Croiseur français_Ch%C3%A2teaurenault_(1868) / Croiseur français Châteaurenault (1868) :
Châteaurenault était une corvette à vapeur de la marine française. Conçu à l'origine comme un raider commercial, il a notamment servi en Méditerranée pendant la période tendue avant la guerre russo-ottomane de 1877-1878, et a participé à la campagne du Tonkin et à la guerre sino-française.
Croiseur français_Ch%C3%A2teaurenault_(1898) / Croiseur français Châteaurenault (1898) :
Châteaurenault était un grand croiseur protégé construit pour la Marine française à la fin des années 1890 et au début des années 1900. Elle était destinée à servir de raider commercial à longue portée, conçue selon les théories de la Jeune École , qui privilégiait une stratégie d'attaque du vaste réseau de navires marchands britanniques au lieu de s'engager dans une coûteuse course aux armements navals avec la Royal Navy . En tant que tel, Châteaurenault a été construit avec un armement relativement léger de seulement huit canons de moyen calibre, mais a reçu une longue portée de croisière et l'apparence d'un grand paquebot, ce qui l'aiderait à échapper à la détection lors d'un raid sur la marine marchande. Châteaurenault a passé une grande partie de sa première carrière à l'étranger en Indochine française , s'y déployant immédiatement après sa mise en service en 1902 jusqu'au milieu de 1904, puis à nouveau en 1905–1906. Il fut réduit en réserve en 1907 puis modifié pour servir de poseur de mines rapide l'année suivante. Elle a été affectée à la division de réserve de l'escadron méditerranéen. Elle a vu peu d'activité supplémentaire jusqu'au déclenchement de la Première Guerre mondiale en juillet 1914. Le navire a été mobilisé dans le 2e Escadron léger et basé dans l'ouest de la Manche. Elle a été déplacée vers la mer Méditerranée au début de 1915, puis au Sénégal français pour rechercher des pillards commerciaux allemands au début de 1916. Après avoir été renvoyée en Méditerranée en octobre 1916, elle a sauvé des survivants du navire de troupes SS Gallia qui avait été coulé par un U-boot allemand. Le Châteaurenault est lui-même torpillé et coulé en décembre 1917, mais il coule assez lentement pour que son équipage soit enlevé par une paire de destroyers, qui à leur tour coulent le sous-marin allemand.
Croiseur français_Ch%C3%A2teaurenault_(D_606)/Croiseur français Châteaurenault (D 606) :
Chateaurenault (D 606) était un croiseur léger français de classe Capitani Romani, acquis à titre de réparations de guerre de l'Italie en 1947 qui a servi dans la marine française de 1948 à 1961. Il a été nommé en l'honneur de François Louis de Rousselet, marquis de Châteaurenault. En service italien, le navire a été nommé Attilio Regolo après Marcus Atilius Regulus l'homme d'État et général romain qui était consul de la République romaine en 267 avant JC et 256 avant JC.
Croiseur français_Colbert_(1928)/Croiseur français Colbert (1928) :
Le Colbert était le deuxième des quatre croiseurs de classe Suffren construits pour la Marine française. Pendant l'entre-deux-guerres, il sert en Méditerranée. En 1935, il subit un important carénage à Lorient avant de rejoindre la patrouille internationale au large de la côte sud de l'Espagne pendant la guerre civile espagnole. En 1939, il est à Oran et s'installe à Toulon en janvier 1940. Il participe au bombardement de Gênes à la mi-juin. Elle était à Toulon au moment de l'armistice français. Il subit un carénage en 1941 pour augmenter ses canons anti-aériens légers puis fut placé en soin et maintenance à Toulon. Elle a été sabordée à Toulon lorsque les Allemands ont tenté de s'emparer de la flotte française à la fin de novembre 1942. Elle a été élevée et mise au rebut après la guerre en 1948. Elle a été nommée en l'honneur de Jean-Baptiste Colbert (1619-1683), le contrôleur général des Finances sous le roi Louis XIV de 1665 à 1683. Il était chargé de sortir la France de la faillite, de restaurer la santé financière de la France et de jeter les bases de la Marine française, y compris les bases et la formation des officiers et des hommes.
Croiseur français_Colbert_(C611)/Croiseur français Colbert (C611) :
Colbert (C 611) était un croiseur anti-aérien, transformé plus tard en croiseur lance-missiles, de la Marine française. C'était le sixième navire (et deuxième croiseur) de la Marine nationale à porter le nom de Jean-Baptiste Colbert (le précédent a été sabordé à Toulon en 1942). Il a servi dans la Marine nationale de 1956 à 1991, avant d'être transformé en navire musée à Bordeaux à partir de 1993. Le Colbert a été démoli en 2016. Le Colbert était le dernier navire de guerre français désigné comme "croiseur". Par la suite, la marine française a adopté le terme « frégate ».
Croiseur français_Cond%C3%A9/Croiseur français Condé :
Le croiseur français Condé était l'un des cinq croiseurs blindés de classe Gloire construits pour la Marine nationale française au début des années 1900. Équipés d'un armement mixte de canons de 194 millimètres (7,6 pouces) et de 164,7 millimètres (6,5 pouces), les navires ont été conçus pour servir avec la flotte. Achevé en 1904, Condé rejoint ses navires jumeaux dans l'escadron du Nord ( Escadre du Nord ). Elle est transférée à l'escadron de la Méditerranée ( Escadre de la Méditerranée ) deux ans plus tard, mais rejoint le 2e Escadron léger ( 2e Escadre légère ), les unités basées dans le nord-ouest de la France ayant été renommées, en 1912, avec deux de ses sœurs. Condé a été transféré à la Division de l'Atlantique ( Division de l'Atlantique ) au début de 1914 et a protégé les intérêts et les citoyens français pendant la Révolution mexicaine . Elle était toujours là lorsque la Première Guerre mondiale a commencé en août et a passé la majeure partie de la guerre à chasser sans succès les pillards du commerce allemand. Le croiseur a été envoyé dans le nord de la Russie au milieu de 1919 dans le cadre de l'intervention alliée dans la guerre civile russe et a couvert l'évacuation des troupes alliées plus tard cette année-là. Le navire est mis en réserve l'année suivante et devient navire de caserne deux ans plus tard. En 1928, Condé est devenu un navire-école jusqu'à ce qu'il soit encombré en 1933, bien qu'il ait continué à être utilisé. Le croiseur a été capturé lors de l'invasion allemande de la France en 1940 et a été utilisé comme navire de dépôt jusqu'à ce qu'il soit coulé en 1944. Son épave a été démolie dix ans plus tard.
Croiseur français_Cosmao/Croiseur français Cosmao :
Cosmao était le troisième et dernier membre de la classe Troude de croiseurs protégés construits pour la marine française à la fin des années 1880 et au début des années 1890. La classe a été construite dans le cadre d'un programme de construction destiné à fournir des éclaireurs pour la flotte de combat principale. Ils étaient basés sur la classe Forbin précédente, la principale amélioration étant l'ajout d'un blindage à la tourelle. Cosmao a été construit dans les années 1880 et a été achevé en 1890. Elle était armée d'une batterie principale de quatre canons de 138 mm (5,4 po), protégée par un pont blindé de 41 mm (1,6 po) d'épaisseur, et avait une vitesse de pointe de 20,5 nœuds (38,0 km / h; 23,6 mph). Cosmao a servi dans l'escadron méditerranéen pendant la majeure partie des années 1890, où elle était principalement occupée par des exercices d'entraînement avec le reste de l'unité. Elle a été relevée de cette affectation en 1898 et avait été placée en réserve en 1901. Elle n'a vu aucune autre activité jusqu'au déclenchement de la Première Guerre mondiale en août 1914, lorsqu'elle a été affectée à un groupe de patrouille au Maroc français. Chargé de patrouiller pour les sous-marins allemands et de protéger la marine marchande alliée, Cosmao n'a vu aucun combat pendant le conflit. Après la guerre, il est rayé du registre naval en 1922 puis vendu à des démolisseurs de navires.
Croiseur français_Co%C3%ABtlogon/Croiseur français Coëtlogon :
Le Coëtlogon était un croiseur protégé de la classe Forbin construit à la fin des années 1880 et au début des années 1890 pour la marine française ; elle était le dernier membre de sa classe à être construit. Les croiseurs de classe Forbin ont été construits dans le cadre d'un programme de construction destiné à fournir des éclaireurs pour la flotte de combat principale. Ils étaient basés sur l'ancien croiseur non protégé Milan, avec l'ajout d'un pont blindé pour améliorer leur utilité au combat. Ils avaient une vitesse de pointe élevée pour l'époque, à environ 20 nœuds (37 km / h; 23 mph), et ils transportaient une batterie principale de quatre canons de 138 mm (5,4 pouces). Coëtlogon a vu peu d'activité, en partie parce que des problèmes avec son système de propulsion ont retardé son achèvement de trois ans; après une grave panne lors d'essais en mer en 1891, l'ensemble du système a dû être remplacé. Même alors, son système de propulsion s'est avéré problématique, y compris des vibrations excessives. Elle a finalement été achevée en 1894 et a été affectée à l'escadron du Nord, même si elle n'a servi dans l'unité que pendant deux ans. Il ne vit plus de service actif et fut rayé du registre naval en 1905, brièvement utilisé comme carcasse de stockage de munitions, avant d'être démantelé en 1906.
Croiseur français_D%27Assas/Croiseur français D'Assas :
Le D'Assas était le navire de tête de sa classe de croiseurs protégés construits pour la marine française dans les années 1890. Les croiseurs de classe D'Assas ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte. À l'époque, la France était préoccupée par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande, et les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. D'Assas était armé d'une batterie principale de six canons de 164 mm (6,5 po), était protégé par un pont blindé de 70 à 80 mm (2,8 à 3,1 po) d'épaisseur et était capable de cuire à la vapeur à une vitesse maximale de 20 nœuds (37 km/h ; 23 mph). D'Assas a d'abord servi dans l'escadron méditerranéen après son entrée en service en 1898, et en 1901, elle avait été transférée à l'escadron nord. Pendant cette période, elle était occupée par des exercices d'entraînement de routine en temps de paix avec le reste des principales flottes françaises dans les eaux territoriales. En 1904, elle est affectée à l'escadron de croiseurs français en Asie de l'Est, et l'année suivante, elle participe à la tentative infructueuse de renflouer le croiseur cuirassé Sully après qu'il se soit échoué. D'Assas passa les années suivantes sans incident et fut rayé du registre naval en 1910; il a ensuite été utilisé comme carcasse de stockage avant d'être vendu à des démolisseurs de navires en 1914.
Croiseur français_D%27Entrecasteaux/Croiseur français D'Entrecasteaux :
D'Entrecasteaux était un grand croiseur protégé construit pour la Marine française dans les années 1890. Seul navire de sa classe, le D'Entrecasteaux était destiné à servir de navire amiral de l'escadron de croiseurs qui défendait l'Indochine française et d'autres possessions en Extrême-Orient. Sa construction est intervenue pendant une période de conflit dans le commandement naval français entre des factions qui favorisaient différents types de croiseurs ; D'Entrecasteaux représentait les idées de la Jeune École , qui favorisait les grands croiseurs pour les opérations à longue portée à l'étranger. Elle était armée d'une batterie principale de deux canons de 240 mm (9,4 po), les plus gros canons jamais transportés à bord d'un croiseur français, bien que leur poids important, associé à son arc de bélier prononcé, ait dégradé sa navigabilité. Elle a néanmoins servi de base aux croiseurs cuirassés ultérieurs. D'Entrecasteaux a d'abord été déployée en Indochine, où elle a participé aux opérations de l'Alliance des huit nations pendant le soulèvement des Boxers, y compris la bataille des forts de Taku en juin 1900. Des problèmes avec ses armes l'ont forcée à retourner en France pour des réparations en 1903, bien qu'elle soit retournée en Indochine pour une autre tournée de 1905 à 1909. Elle a été modernisée en 1909-1912 et a servi de navire amiral de l'escadron d'entraînement jusqu'au début de la Première Guerre mondiale en juillet 1914. Le navire a passé une grande partie de la guerre dans l'est Mer Méditerranée , où elle a aidé à la défense du canal de Suez contre les attaques ottomanes et a patrouillé la côte de la Syrie ottomane. Elle a été transférée pour des opérations ailleurs après 1916, notamment en soutenant les rebelles arabes dans la mer Rouge et en escortant des convois dans l'océan Indien. Après la guerre, D'Entrecasteaux aide à ramener les troupes françaises de l'Armée d'Orient avant d'être mis en réserve en juin 1919. Il est radié du registre naval en 1922 et transféré à la Marine belge en 1923, où elle a servi de navire de dépôt pendant trois ans. Après un bref retour en France en 1926, il est vendu à la marine polonaise en 1927, qui rebaptise le navire Król Władysław IV puis Bałtyk. Employé comme navire-école stationnaire, il resta au service de la Pologne jusqu'à l'invasion allemande de la Pologne en septembre 1939, lorsqu'il fut endommagé par des avions allemands. Il a été capturé par les Allemands et utilisé comme navire de caserne avant d'être démantelé vers 1942.
Croiseur français_D%27Estr%C3%A9es/Croiseur français D'Estrées :
D'Estrées était le navire de tête de sa classe de croiseurs protégés construits pour la marine française à la fin des années 1890. La classe a été commandée dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte à un moment où le pays était préoccupé par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande et était destiné à servir outre-mer dans l'empire colonial français. D'Estrées était armé d'une batterie principale de deux canons de 138 mm (5,4 po), était protégé par un pont blindé de 38 à 43 mm (1,5 à 1,7 po) d'épaisseur et était capable de cuire à la vapeur à une vitesse maximale de jusqu'à à 20 à 20,5 nœuds (37,0 à 38,0 km/h; 23,0 à 23,6 mph). D'Estrées a servi dans l'escadron du Nord après son achèvement en 1899 avant d'être transférée à la division d'entraînement de l'Atlantique en 1902. Elle est restée dans l'unité pendant plusieurs années. Au début de la Première Guerre mondiale en août 1914, le navire est initialement affecté au 2e Escadron léger, mais est rapidement transféré pour renforcer la division syrienne pour les opérations contre l'Empire ottoman. D'Estrées a bombardé les positions ottomanes le long de la côte syrienne et a aidé à y imposer un blocus. Elle a été déplacée vers la mer Rouge en 1916, où elle a patrouillé pour les raids commerciaux allemands pour le reste de la guerre, bien qu'elle n'ait vu aucune autre action. Après la guerre, elle est envoyée en Indochine française, où elle passe le reste de sa carrière. D'Estrées est rayé du registre naval en 1922 et démantelé.
Croiseur français_D%27Iberville/Croiseur français D'Iberville :
D'Iberville était le navire de tête de la classe D'Iberville de croiseurs torpilleurs construits pour la marine française dans les années 1890. La classe est aussi parfois classée comme canonnières torpilles ou avisos torpilles. Les navires de la classe D'Iberville étaient un développement des croiseurs torpilleurs antérieurs, la principale amélioration étant une vitesse nettement plus élevée. D'Iberville était armée de six tubes lance-torpilles de 450 mm (17,7 pouces) et d'un seul canon de 100 mm (3,9 pouces) comme armement offensif principal, bien qu'elle ait fait retirer tous ses tubes lance-torpilles en 1896, deux ans seulement après son entrée en service. D'Iberville a eu une carrière assez limitée, servant avec l'escadron méditerranéen de 1895 à 1897. Pendant ce temps, ses principales activités consistaient en des manœuvres annuelles de la flotte menées chaque été. En 1903, le navire gisait à Toulon en attendant les réparations de ses chaudières, qui s'étaient avérées gênantes en service. Le navire a été réactivé pour un déploiement en Indochine française en Asie du Sud-Est en 1911. Il était toujours en poste là-bas au début de la Première Guerre mondiale en août 1914, et il a été envoyé en patrouille pour les navires allemands connus pour être dans la région. Elle était présente pour la bataille de Penang en octobre 1914, où le croiseur léger allemand SMS Emden a attaqué le port, a coulé le croiseur protégé russe Zhemchug et s'est enfui avant que D'Iberville ou les autres navires de guerre du port ne puissent effectivement engager le navire allemand. D'Iberville a ensuite été transféré en Algérie française, y restant en patrouille jusqu'en 1917. Il a finalement été rayé du registre naval en 1919 et vendu à des démolisseurs de navires en 1920.
Croiseur français_Davout/Croiseur français Davout :
Le Davout était un croiseur protégé de la marine française qui a été construit à la fin des années 1880 et au début des années 1890. Le navire a été commandé pendant le mandat de l'amiral Théophile Aube en tant que ministre français de la Marine, qui favorisait une flotte centrée sur un grand nombre de croiseurs de différents types. Davout et le navire similaire Suchet reçurent l'ordre de remplir le rôle de croiseur moyen dans les plans de l'Aube. Davout était armé d'une batterie principale de six canons de 164 mm (6,5 pouces) dans des montures simples, et elle avait une vitesse de pointe de 20,7 nœuds (38,3 km / h; 23,8 mph). Davout a eu une carrière relativement calme ; son achèvement a été retardé de deux ans en raison de problèmes avec son système de propulsion. Après son entrée en service en 1893, il est affecté à l'escadron de réserve, basé en mer Méditerranée. Le navire a passé le reste de la décennie à opérer soit avec l'escadron de réserve pour des exercices d'entraînement, soit dans le cadre de l'unité d'entraînement de la flotte française. En 1899, elle a reçu une révision majeure qui comprenait l'installation de nouvelles chaudières, et en 1902, elle a été affectée à la Station de l'Atlantique Nord. En 1910, elle avait été rayée du registre naval et Davout a ensuite été vendu à des démolisseurs de navires.
Croiseur français_De_Grasse/Croiseur français De Grasse :
De Grasse était un croiseur anti-aérien de la Marine française. Elle a été le premier navire français nommé en l'honneur de François Joseph Paul, marquis de Grasse Tilly, comte de Grasse. De 1965 à 1971, elle participe aux campagnes d'essais nucléaires dans le Pacifique.
Croiseur français_Desaix/croiseur français Desaix :
Le croiseur français Desaix était l'un des trois croiseurs cuirassés de classe Dupleix construits pour la Marine nationale (Marine Nationale) dans la première décennie du XXe siècle. Conçus pour le service outre-mer et armés de huit canons de 164,7 millimètres (6,5 pouces), les navires étaient plus petits et moins puissamment armés que leurs prédécesseurs. Achevé en 1904, Desaix a d'abord été affecté à l'escadron de la Méditerranée ( Escadre de la Méditerranée ) avant d'être transféré à la Division de l'Atlantique ( Division de l'Atlantique ) l'année suivante, où il a servi de vaisseau amiral. Le croiseur retourna en Méditerranée en 1906, mais n'y resta qu'un an avant de rejoindre la Division Atlantique. Desaix était en réserve de 1909 à 1914. Alors que les tensions montaient peu avant le début de la Première Guerre mondiale en août 1914, le navire fut réactivé. Lorsque la guerre a commencé, elle a été chargée de défendre la navigation alliée dans la Manche et d'intercepter les navires allemands tentant de passer. Transféré en Méditerranée au début de 1915, Desaix passa l'année suivante à patrouiller au large des côtes du Levant ottoman et en Méditerranée centrale. Pour aider à protéger la navigation alliée des raids commerciaux allemands, le navire a été transféré en Afrique occidentale française au milieu de 1916 et y est resté pour le reste de la guerre. Elle a servi dans la Division d'Extrême-Orient ( Division navale de l'Extrême Orient ) en 1919–1921 et a été désarmée peu de temps après son retour. Desaix a été vendu à la ferraille en 1927.
Croiseur français_Descartes/croiseur français Descartes :
Descartes était le navire de tête de la classe Descartes de croiseurs protégés construits pour la marine française dans les années 1890. Les croiseurs de classe Descartes ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte. À l'époque, la France était préoccupée par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande, et les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Descartes était armé d'une batterie principale de quatre canons de 164,7 mm (6,5 po), était protégé par un pont blindé de 20 à 40 mm (0,79 à 1,57 po) d'épaisseur et était capable de naviguer à une vitesse maximale de 19 nœuds ( 35 km/h ; 22 mph). Descartes a servi outre-mer en Indochine française pendant une grande partie de sa carrière, y étant envoyée immédiatement après son entrée en service en 1897. Elle était présente dans la région lors du soulèvement des boxeurs à Qing en Chine en 1900. Après son retour en France en 1902, elle a été affectée à la Station de l'Atlantique Nord avec plusieurs autres croiseurs. Le navire a effectué un deuxième déploiement en Asie de l'Est en 1905, puis a été brièvement stationné à Madagascar en 1907, avant de revenir pour une tournée avec l'escadron méditerranéen cette année-là. Descartes est alors transféré à l'escadron Nord. En 1914, le navire opérait avec la Division de l'Atlantique (Division de l'Atlantique) et se trouvait dans les eaux d'Amérique centrale lorsque la Première Guerre mondiale a commencé en juillet. Elle a rejoint la recherche infructueuse du croiseur allemand SMS Karlsruhe en août et a passé les trois années suivantes à patrouiller dans les Antilles. Elle a été mise hors service et désarmée en 1917, ses canons étant utilisés comme artillerie de campagne et pour armer des navires de patrouille. Il est rayé du registre naval en 1920 et vendu à des démolisseurs de navires l'année suivante.
Croiseur français_Du_Chayla/Croiseur français Du Chayla :
Du Chayla était un croiseur protégé construit pour la Marine française dans les années 1890 ; elle était membre de la classe D'Assas. Les croiseurs de classe D'Assas ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte à un moment où le pays était préoccupé par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande. Les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Du Chayla était armé d'une batterie principale de six canons de 164 mm (6,5 po), était protégé par un pont blindé de 70 à 80 mm (2,8 à 3,1 po) d'épaisseur et était capable de naviguer à une vitesse maximale de 20 nœuds. (37 km/h ; 23 mph). Du Chayla est entrée en service en 1899, rejoignant l'escadron méditerranéen, où elle a servi pendant les huit années suivantes. Au cours de cette période, elle était principalement occupée par des exercices d'entraînement de routine. En août 1907, elle soutient un assaut amphibie au Maroc français lors du bombardement de Casablanca. Pendant la Première Guerre mondiale, elle a patrouillé l'Atlantique pour les pillards du commerce allemand mais n'a vu aucune action. En 1918, elle avait été partiellement désarmée pour fournir des armes à l'armée française. Du Chayla a participé à l'intervention alliée dans la guerre civile russe en 1919 mais a été rappelé en France en 1920, où il a été rayé du registre naval en 1921 et vendu à des démolisseurs de navires.
Croiseur français_Dubourdieu/Croiseur français Dubourdieu :
Le Dubordieu était un croiseur non protégé construit pour la marine française au début des années 1880. Destiné à servir de raider commercial à longue portée, le navire était équipé d'un gréement à voile pour compléter sa machine à vapeur lors de longs voyages, et il transportait un armement de quatre canons de 165 mm (6,5 pouces) et de douze canons de 140 mm (5,5 pouces). . Il faisait partie des derniers croiseurs français non protégés, remplacés par la suite par des croiseurs protégés plus durables. La marine française n'était pas satisfaite du navire, en raison de sa conception obsolète, car il était trop faible pour vaincre les croiseurs protégés les plus puissants et était trop lent pour s'en échapper. Le navire a servi de navire amiral de la station du Pacifique après son entrée en service en 1889, mais a été contraint de rentrer chez lui l'année suivante pour corriger les défauts de son système de propulsion. Dubourdieu retourna dans le Pacifique plus tard en 1890 et y servit pendant les années suivantes. Elle a été rappelée à la maison en 1895, et l'année suivante, elle est devenue le navire amiral de la station de l'Atlantique Nord, un rôle qu'elle a rempli jusqu'en 1899. Le navire a été mis en réserve en mai de cette année-là, avant d'être converti en navire-école ; elle fut rapidement vendue à des démolisseurs de navires en 1900.
Croiseur français_Duguay-Trouin_(1923)/Croiseur français Duguay-Trouin (1923) :
Le Duguay-Trouin était le navire de tête de sa classe de croiseurs légers français, lancé au début des années 1920. Elle porte le nom de René Duguay-Trouin. Elle patrouille en Méditerranée pendant la guerre civile espagnole, et après le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, elle chasse les cuirassés de poche nazis avant d'être internée après la chute de la France et jusqu'en 1943. Elle participe ensuite aux opérations alliées en Méditerranée, soutenant les Provence Débarquement et bombardements des troupes nazies et fascistes sur les côtes italiennes jusqu'à la fin de la guerre. Duguay-Trouin participe ensuite aux guerres de décolonisation en Algérie, puis en Indochine.
Croiseur français_Dupetit-Thouars/Croiseur français Dupetit-Thouars :
Dupetit-Thouars était un croiseur cuirassé de la classe Gueydon de la marine française. Elle a été torpillée et coulée le 7 août 1918 par le SM U-62 avec la perte de 13 membres de son équipage.
Croiseur français_Dupleix_(1900)/Croiseur français Dupleix (1900) :
Le croiseur français Dupleix était le navire de tête de sa classe de trois croiseurs cuirassés construits pour la marine française dans la première décennie du XXe siècle. Conçus pour le service outre-mer et armés de huit canons de 164,7 millimètres (6,5 pouces), les navires étaient plus petits et moins puissamment armés que leurs prédécesseurs. Achevé en 1903, Dupleix est initialement affecté à la Division de l'Atlantique ( Division de l'Atlantique ) comme navire amiral. Le navire passa de 1906 à 1909 en réserve avant d'être envoyé en Extrême-Orient en 1910, servant à nouveau de vaisseau amiral. Lorsque la Première Guerre mondiale a commencé en août 1914, le croiseur était toujours en Extrême-Orient. Avant d'être transféré en Méditerranée orientale en mai 1915, Dupleix passe la plupart de son temps en service d'escorte dans l'océan Indien et la mer Rouge. Au cours de l'année suivante, elle a été chargée de bloquer la côte égéenne de la Turquie ottomane. Pour aider à protéger la navigation alliée des raids commerciaux allemands, le navire a été transféré en Afrique occidentale française au milieu de 1916 et y est resté jusqu'en octobre 1917, date à laquelle il est retourné en France pour être placé en réserve. Dupleix est mis hors service en 1919 et vendu à la ferraille en 1922.
Croiseur français_Dupleix_(1930)/Croiseur français Dupleix (1930) :
Dupleix était la quatrième unité de la classe Suffren. Il entre en service en 1933 et passe l'entre-deux-guerres en Méditerranée. Elle a participé à la patrouille internationale pendant la guerre civile espagnole. Septembre 1939 la retrouve toujours à Toulon. Il participe à la recherche du Graf Spee dans l'Atlantique avant de revenir à Toulon. La seule fois où elle a tiré avec colère, c'est lors du bombardement de Vado, en Italie, à la mi-juin 1940. Elle était à Toulon au moment de l'armistice franco-allemand en juin 1940. Elle est restée à Toulon jusqu'à ce que la flotte française y soit. sabordé fin novembre 1942. Il est ensuite élevé par les Italiens en 1943. Il est nommé en l'honneur de Joseph François, marquis Dupleix (1697 - 1763) négociant français au service de la Compagnie des Indes. Il a voyagé entre l'Amérique du Nord et l'Inde. Il fut nommé gouverneur général des Indes françaises en 1742. Poste qu'il occupa jusqu'à sa mort en 1763.
Croiseur français_Dupuy_de_L%C3%B4me/Croiseur français Dupuy de Lôme :
Le Dupuy de Lôme était un croiseur cuirassé construit pour la Marine Nationale (Marine Nationale) à la fin des années 1880 et 1890. Il est considéré par certains comme le premier croiseur blindé au monde et était destiné à attaquer les navires marchands ennemis. Le navire porte le nom de l'architecte naval Henri Dupuy de Lôme. L'achèvement de Dupuy de Lôme est retardé de près de deux ans par des problèmes avec ses chaudières, mais il est finalement mis en service en 1895 et affecté à l'Escadron du Nord, basé à Brest, pour la majeure partie de sa carrière. Le navire effectue plusieurs visites dans des ports étrangers avant d'entamer une longue reconstruction en 1902. Au moment où celle-ci est achevée en 1906, le croiseur est considéré comme obsolète et Dupuy de Lôme est mis en réserve, à l'exception d'une affectation au Maroc. Le navire a été vendu à la marine péruvienne en 1912, mais ils n'ont jamais payé les deux derniers versements et le navire est resté inactif à Brest pendant la Première Guerre mondiale. Les Français ont accepté de reprendre le navire en 1917, en gardant l'argent déjà payé, et ils la revendit en 1918 à une compagnie maritime belge qui la transforma en cargo. Rebaptisé Péruvier, les moteurs du navire sont tombés en panne lors de son voyage inaugural en tant que navire marchand en 1920 et il a dû être remorqué jusqu'à sa destination, après quoi une partie de sa cargaison de charbon a été découverte en feu. Jugé peu économique à réparer, le Péruvier fut remorqué jusqu'à Anvers puis ferraillé en 1923.
Croiseur français_Duquesne_(1876)/Croiseur français Duquesne (1876) :
Le croiseur français Duquesne était un croiseur non protégé construit pour la marine française. C'était le sixième navire de la marine française à porter le nom d'Abraham Duquesne. Le navire a été mis en chantier à l'Arsenal de Rochefort en 1873 et lancé en 1876. Il a été frappé en 1901.
Croiseur français_Duquesne_(1925)/Croiseur français Duquesne (1925) :
Duquesne était le premier des deux croiseurs de la classe Duquesne construits pour la marine française. Pendant l'entre-deux-guerres, elle a servi en Méditerranée tout en effectuant des croisières périodiques pour montrer le drapeau. Pendant la guerre, il est en service de blocus au milieu de l'Atlantique puis en Méditerranée. Elle a été internée pendant trois ans à Alexandrie, rejoignant l'effort de guerre en 1943. De nouveau affectée au devoir de blocus dans le centre de l'Atlantique à Dakar. Après la guerre, elle a aidé à la restauration de la domination coloniale française en Indochine française jusqu'à sa mise en réserve en 1947. Elle est restée en réserve jusqu'à sa condamnation pour élimination en 1955. Elle a été nommée en l'honneur d'Abraham Duquesne, marquis du Bouchet (c. 1610 - 1688) qui s'est distingué pendant la Troisième Guerre des Pays-Bas. C'était le septième navire à porter ce nom depuis son introduction en 1787 pour un navire de 74 canons capturé par les Britanniques le 25 juillet 1803.
Croiseur français_Edgar_Quinet/Croiseur français Edgar Quinet :
Edgar Quinet était un croiseur cuirassé de la Marine française, premier navire de sa classe. Elle et son navire jumeau, Waldeck-Rousseau, étaient la dernière classe de croiseur cuirassé à être construit par la marine française. Edgar Quinet a été établi en novembre 1905, lancé en septembre 1907 et achevé en janvier 1911. Armé d'une batterie principale de quatorze canons de 194 millimètres (7,6 pouces), il était plus puissant que la plupart des autres croiseurs blindés, mais il était entré service plus de deux ans après que le premier croiseur de bataille - le HMS Invincible - ait rendu les croiseurs blindés obsolètes. Au déclenchement de la Première Guerre mondiale en août 1914, Edgar Quinet participe à la traque du croiseur de guerre allemand SMS Goeben puis rejoint le blocus de la marine austro-hongroise dans l'Adriatique. Elle a participé à la bataille d'Antivari plus tard en août et à la prise de Corfou en janvier 1916, mais n'a vu aucune autre action pendant la guerre. En 1922, elle a évacué plus d'un millier de civils de Smyrne pendant l'apogée de la guerre gréco-turque. Converti en navire-école au milieu des années 1920, Edgar Quinet s'échoue sur un rocher au large des côtes algériennes le 4 janvier 1930 et coule cinq jours plus tard.
Croiseur français_Ernest_Renan/Croiseur français Ernest Renan :
L'Ernest Renan était un croiseur cuirassé construit pour la Marine française dans la première décennie du XXe siècle. Au déclenchement de la Première Guerre mondiale en août 1914, il participe à la chasse au cuirassé allemand SMS Goeben puis rejoint le blocus de la marine austro-hongroise dans l'Adriatique. Elle a participé à la bataille d'Antivari plus tard en août et à la prise de Corfou en janvier 1916, mais n'a vu aucune autre action pendant la guerre. Après la guerre, les Britanniques et les Français sont intervenus dans la guerre civile russe ; cela comprenait un déploiement naval majeur en mer Noire, qui comprenait Ernest Renan. Il a servi comme navire-école à la fin des années 1920 avant d'être coulé comme navire cible dans les années 1930.
Croiseur français_Foch/Croiseur français Foch :
Foch était la troisième unité de la classe Suffren. Il entre en service en 1931 et passe l'entre-deux-guerres en Méditerranée. Septembre 1939 la retrouve toujours à Toulon. Il participe à la recherche du Graf Spee dans l'Atlantique avant de revenir à Toulon. La seule fois où elle a tiré avec colère, c'est lors du bombardement de Vado, en Italie, à la mi-juin 1940. Elle était à Toulon au moment de l'armistice franco-allemand en juin 1940. Elle est restée à Toulon jusqu'à ce que la flotte française y soit. sabordée fin novembre 1942. Elle fut ensuite élevée par les Italiens qui la ferraillèrent en 1943-44. Elle devait à l'origine s'appeler Louvois en l'honneur du marquis de Louvois, ministre de la guerre sous le roi Louis XIV. Cependant, le maréchal Ferdinand Foch, le soldat le plus célèbre de France pendant la Première Guerre mondiale, est décédé le 29 mars 1929, un mois avant son lancement. Elle est alors rebaptisée Foch en son honneur. Les tourelles principales ont été nommées d'après des lieux associés au maréchal Foch pendant la Grande Guerre.
Croiseur français_Forbin/croiseur français Forbin :
Forbin était un croiseur protégé, le navire de tête de la classe Forbin, construit à la fin des années 1880 pour la marine française. La classe a été construite dans le cadre d'un programme de construction destiné à fournir des éclaireurs pour la flotte de combat principale. Ils étaient basés sur l'ancien croiseur non protégé Milan, avec l'ajout d'un pont blindé pour améliorer leur utilité au combat. Ils avaient une vitesse de pointe élevée pour l'époque, à environ 20 nœuds (37 km / h; 23 mph), et ils transportaient une batterie principale de quatre canons de 138 mm (5,4 pouces). Forbin a passé les années 1890 dans l'escadron de réserve, basé en mer Méditerranée ; pendant cette période, elle a été maintenue en commission partielle pour participer aux exercices d'entraînement annuels. Elle était en réserve en 1901, lorsqu'elle eut un incendie de munitions lié à des charges propulsives instables de Poudre B. Forbin a été réactivé en 1906 pour le service avec l'escadron du Nord. En 1911, elle avait été transférée à la division navale marocaine. Il a été converti en charbonnier en 1913 et a été utilisé à ce titre jusqu'à ce qu'il soit rayé du registre naval en 1919. Le navire a été vendu à la ferraille en 1921.
Croiseur français_Friant/Croiseur français Friant :
Friant était un croiseur protégé de la marine française construit dans les années 1890 et le navire de tête de la classe Friant. Friant et ses deux navires jumeaux ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction majeur dirigé contre les adversaires italiens et allemands de la France dans la Triple Alliance, et ils étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Ils étaient armés d'une batterie principale de six canons de 164 mm (6,5 pouces) et avaient une vitesse de pointe de 18,7 nœuds (34,6 km / h; 21,5 mph). Friant passe ses premières années de service affecté à l'Escadron Nord, basé dans la Manche. Là, elle était principalement occupée par des exercices d'entraînement. Elle a été déployée en Asie de l'Est au début de 1901 en réponse au soulèvement des boxeurs, et elle est restée dans la région après la fin du conflit. Après son retour en France, elle a reçu de nouvelles chaudières et est ensuite retournée aux opérations de la flotte. Au début de la Première Guerre mondiale en août 1914, Friant était en poste dans les colonies françaises des Amériques. Elle a d'abord été affectée à un escadron de croiseurs pour patrouiller à l'extrémité ouest de la Manche. En septembre, elle a été déplacée au Maroc français pour rejoindre un groupe de croiseurs patrouillant pour les raiders commerciaux allemands. Le navire a ensuite été déplacé vers le golfe de Guinée pour patrouiller dans les anciennes colonies allemandes en Afrique de l'Ouest. Il a terminé la guerre après avoir été converti en navire de réparation basé au Maroc et plus tard à Mudros pour soutenir une flottille de sous-marins. Il est rayé du registre naval en 1920 et vendu à des démolisseurs de navires.
Croiseur français_Galil%C3%A9e/Croiseur français Galilée :
Le Galilée était un croiseur protégé de la Marine française construit dans les années 1890 ; elle était le deuxième membre de la classe Linois , qui a été commandée dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseur de la flotte. À l'époque, la France était préoccupée par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande, et les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Galilée était armée d'une batterie principale de quatre canons de 138,6 mm (5,5 po), était protégée par un pont blindé de 40 mm (1,6 po) d'épaisseur et elle avait une vitesse de pointe de 20,5 nœuds (38,0 km/h; 23,6 mph) . Galilée a servi dans l'escadron méditerranéen pendant toute la durée de sa carrière, à partir de 1898. Au cours de cette période, elle a passé son temps à mener des exercices d'entraînement, des exercices de tir et des revues navales. En 1907, elle est transférée à la division de réserve de l'escadron méditerranéen, où elle continue de participer au programme d'entraînement en temps de paix. En août 1907, elle participe au bombardement de Casablanca, ouvrant un front occidental à la conquête française du Maroc. Elle a accueilli le président Armand Fallières et le tsar Nicolas II de Russie pour une revue navale lors de la visite de ce dernier en France en 1909. Galilée a été rayée du registre naval en 1911 puis démantelée.
Croiseur français_Georges_Leygues/Croiseur français Georges Leygues :
Georges Leygues était un croiseur léger français de la classe La Galissonnière. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle a servi avec la France de Vichy et les Alliés. Elle porte le nom de l'éminent homme politique français des XIXe et XXe siècles, Georges Leygues.
Croiseur français_Gloire_(1900)/croiseur français Gloire (1900) :
Le croiseur français Gloire était l'un des cinq croiseurs cuirassés de classe Gloire construits pour la Marine nationale française ( Marine Nationale ) au cours de la première décennie du XXe siècle. Équipés d'un armement mixte de canons de 194 millimètres (7,6 pouces) et de 164,7 millimètres (6,5 pouces), les navires ont été conçus pour servir avec la flotte. Achevé en 1904, le Gloire rejoint ses navires jumeaux dans l'Escadron du Nord (Escadre du Nord), servant généralement de vaisseau amiral. Elle a participé au bombardement français de Casablanca, au Maroc, en 1907, et a été brièvement affectée à l'escadron méditerranéen ( Escadre de la Méditerranée ) en 1910-1911. Le Gloire est devenu un navire-école à la fin de 1913. Lorsque la Première Guerre mondiale a commencé en août 1914, il a été affecté à une patrouille dans la Manche pour faire respecter le blocus de l'Allemagne et est resté à ce poste jusqu'en 1916. Le croiseur a été brièvement déployé en Afrique occidentale française pour recherche des pillards du commerce allemands plus tard cette année-là avant d'être transférée aux Antilles françaises pendant plusieurs mois. L'activité accrue de raids commerciaux au début de 1917 a incité un déploiement permanent aux Antilles pour escorter des convois dans le cadre de la Division de l'Atlantique (Division de l'Atlantique). Gloire y resta au moins un an après la fin de la guerre en novembre 1918 avant de rentrer chez elle pour être placée en réserve. Le navire a été frappé en 1922 et vendu à la ferraille l'année suivante.
Croiseur français_Gloire_(1935)/Croiseur français Gloire (1935) :
Le Gloire était un croiseur léger français de la classe La Galissonnière.
Croiseur français_Gueydon/Croiseur français Gueydon :
Le croiseur français Gueydon était le nom de navire de sa classe de croiseurs cuirassés construits pour la marine française dans les années 1890.
Croiseur français_Guichen_(1897)/Croiseur français Guichen (1897) :
Le Guichen était un grand croiseur protégé construit dans les années 1890 pour la Marine française, seul membre de sa classe. Elle était destinée à servir de raider commercial à longue portée, conçue selon les théories de la Jeune École , qui privilégiait une stratégie d'attaque du vaste réseau de navires marchands britanniques au lieu de s'engager dans une coûteuse course aux armements navals avec la Royal Navy . En tant que tel, Guichen a été construit avec un armement relativement léger de seulement huit canons de moyen calibre, mais a reçu une longue portée de croisière et l'apparence d'un grand paquebot, ce qui l'aiderait à échapper à la détection lors d'un raid sur la marine marchande. La guerre anglo-française prédite qui a stimulé la conception de Guichen ne s'est jamais produite, et ainsi son début de carrière s'est déroulé sans incident. Elle a d'abord servi dans l'escadron méditerranéen lors de ses longs essais en mer, suivis d'un passage dans l'escadron nord. Elle a été envoyée en Extrême-Orient en réponse au soulèvement des boxeurs dans la Chine Qing au début de 1901, retournant en France l'année suivante. Un autre déploiement dans les eaux d'Asie de l'Est eut lieu en 1905 et se termina en 1907 avec son retour en France. Elle avait été réduite à la réserve en 1911 et n'a vu que peu d'activité au cours des trois années suivantes. Au début de la Première Guerre mondiale en juillet 1914, le navire est mobilisé dans le 2e Escadron léger et chargé de patrouiller l'extrémité ouest de la Manche. Guichen a été transféré en mer Méditerranée en mai 1915, servant initialement avec la principale flotte française qui bloquait la marine austro-hongroise dans la mer Adriatique. Plus tard dans l'année, elle a été réaffectée à la division syrienne qui patrouillait sur la côte de la Syrie ottomane, où elle a aidé à évacuer quelque 4 000 civils arméniens fuyant le génocide arménien. En 1917, elle avait été réduite à un transport rapide opérant entre l'Italie et la Grèce. Après la guerre, elle a participé à l'intervention alliée dans la guerre civile russe en mer Noire, mais après la mutinerie de son équipage en 1919, elle a été rappelée en France, où elle a finalement été rayée du registre naval en 1921 et démantelée.
Croiseur français_Infernet/Croiseur français Infernet :
Infernet était le deuxième et dernier membre de la classe D'Estrées de croiseurs protégés construits pour la Marine française dans les années 1890. Les croiseurs de classe D'Estrées ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte à un moment où le pays était préoccupé par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande. Les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir outre-mer dans l'empire colonial français. D'Estrées était armé d'une batterie principale de deux canons de 138 mm (5,4 po), était protégé par un pont blindé de 38 à 43 mm (1,5 à 1,7 po) d'épaisseur et était capable de cuire à la vapeur à une vitesse maximale de jusqu'à à 20 à 20,5 nœuds (37,0 à 38,0 km/h; 23,0 à 23,6 mph). Infernet a eu une carrière relativement courte. Elle a été achevée en 1900, après quoi elle a été affectée à l'escadron du Nord. En 1901, elle a été envoyée à Madagascar français, et deux ans plus tard, elle a été transférée aux Indes orientales, où elle est restée jusqu'en 1905. Après son retour en France, elle s'est échouée au large des Sables-d'Olonne en 1910 et n'a pas pu être tiré libre.
croiseur français_Isly/croiseur français Isly :
L'Isly était un croiseur protégé de classe Alger construit à la fin des années 1880 et au début des années 1890 pour la marine française. Le troisième membre de la classe, l'Isly et ses navires jumeaux ont été commandés pendant le mandat de l'amiral Théophile Aube comme ministre de la Marine selon les théories de la doctrine de la Jeune École. Les navires étaient conçus comme des raiders commerciaux à longue portée, et ils étaient armés d'une batterie principale de quatre canons de 164 mm (6,5 po), étaient protégés par un pont blindé de 50 à 100 mm (2 à 4 po) d'épaisseur, et étaient capables de naviguer à une vitesse maximale d'environ 19 nœuds (35 km / h; 22 mph). Isly a d'abord servi dans la division de réserve de l'escadron du Nord, ne passant qu'une partie de l'année en service actif pour des exercices d'entraînement. Elle est déployée en Indochine française de 1895 à 1896 puis de 1897 à 1899. Après son retour en France, elle rejoint la station de l'Atlantique Nord, opérant à partir de Brest. Isly a passé la décennie suivante à servir dans l'Atlantique, changeant d'unité au fur et à mesure que la flotte était réorganisée à plusieurs reprises; elle reçut également de nouvelles chaudières à tubes d'eau en 1902. En 1908, elle fut brièvement envoyée au Maroc français, et l'année suivante, elle fut convertie en navire-dépôt pour destroyers. Elle a été rayée du registre naval en 1914 et par la suite démantelée.
Croiseur français_Jean_Bart/Croiseur français Jean Bart :
Le Jean Bart était un croiseur protégé de la classe Jean Bart construit pour la Marine française à la fin des années 1880 et au début des années 1890. Le navire de tête de la classe de deux navires, le Jean Bart et ses navires jumeaux ont été commandés pendant le mandat de l'amiral Théophile Aube en tant que ministre de la Marine selon les théories de la doctrine de la Jeune École. Les navires étaient conçus comme des raiders commerciaux à longue portée, et ils étaient armés d'une batterie principale de quatre canons de 164 mm (6,5 po), étaient protégés par un pont blindé de 50 à 100 mm (2 à 4 po) d'épaisseur, et étaient capables de naviguer à une vitesse maximale de 19,5 nœuds (36,1 km / h; 22,4 mph). Jean Bart a servi dans l'escadron méditerranéen pendant les deux premières années de sa carrière, puis a été transféré à l'escadron nord. Pendant cette période, elle a participé à des exercices d'entraînement avec la flotte. En 1897, le navire a été modernisé avec de nouveaux mâts et des projecteurs électriques. Elle a été déployée en Indochine française en Asie du Sud-Est en 1898 et elle faisait partie de l'escadron français qui a répondu au soulèvement des boxeurs à Qing en Chine. Jean Bart a subi un deuxième radoub entre 1903 et 1906 qui comprenait de nouvelles chaudières à tubes d'eau qui ont amélioré ses performances. Elle a vu peu d'utilité par la suite, car elle s'est échouée au large du Sahara occidental au début de 1907 et n'a pas pu être renflouée.
Croiseur français_Jean_de_Vienne/Croiseur français Jean de Vienne :
Le Jean de Vienne était un croiseur léger français de la classe La Galissonnière. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle est restée avec Vichy France. Elle porte le nom de Jean de Vienne, chevalier français du XIVe siècle, général et amiral pendant la guerre de Cent Ans.
Croiseur français_Jeanne_d%27Arc_(1899)/Croiseur français Jeanne d'Arc (1899):
Le Jeanne d'Arc était un croiseur cuirassé construit pour la Marine Navale française à la fin du XIXe siècle, le seul navire de sa classe. Achevé en 1903, il est initialement affecté à l'Escadron Nord (en français : Escadre du Nord), bien qu'il soit transféré dans la flotte de réserve avant la fin de l'année. Le navire a été remis en service pendant quelques mois à la mi-1905 et a été transféré à la flotte méditerranéenne ( Escadre de Méditerranée ) à la mi-1906 et a servi de navire amiral pendant les années suivantes. Jeanne d'Arc est affectée à la réserve au milieu de 1908 et modifiée pour servir de navire-école aux élèves-officiers de marine de l'École Navale. En 1912, il effectue la première de deux longues croisières d'entraînement. Quelques jours après son retour de croisière, le navire est mobilisé pour le service avec l'escadron du Nord alors que les tensions montent avant le début de la Première Guerre mondiale en août 1914. Jeanne d'Arc est chargée de patrouiller dans la Manche à la recherche de contrebande et de blocus allemand. coureurs et a continué à effectuer cette mission jusqu'en mars 1915, date à laquelle elle a été transférée en Méditerranée. Le navire a d'abord été affecté au soutien des troupes françaises dans la campagne des Dardanelles, puis est devenu le navire amiral des navires français patrouillant la côte levantine. Au début de 1916, Jeanne d'Arc entame un long carénage qui durera jusqu'en 1917, date à laquelle elle est affectée aux Antilles françaises. Le navire a été placé en réserve en 1918 et a repris son rôle précédent de navire-école l'année suivante. Jeanne d'Arc retourne en réserve en 1928 et est rayée de la Navy List en 1933 avant d'être vendue à la ferraille l'année suivante.
Croiseur français_Jeanne_d%27Arc_(1930)/Croiseur français Jeanne d'Arc (1930):
Le Jeanne d'Arc était un croiseur d'entraînement construit pour la Marine Nationale (Marine française) à la fin des années 1920. Elle a été conçue à la fois comme navire-école et comme navire de guerre pleinement capable. Elle a vu le service pendant la Seconde Guerre mondiale, s'échappant à Halifax après la chute de la France et rejoignant finalement les forces françaises libres avant la fin de la guerre. Après la guerre, le croiseur a repris ses fonctions de navire-école et a pris sa retraite en 1964.
Croiseur français_Jeanne_d%27Arc_(R97)/Croiseur français Jeanne d'Arc (R97):
Jeanne d'Arc était un croiseur hélicoptère de la Marine française. Elle était le sixième navire de la marine française nommé d'après Jeanne d'Arc ("Jeanne d'Arc" en français), une héroïne nationale de la France et sainte de l'Église catholique qui s'est distinguée pendant la guerre de Cent Ans en aidant la France à transformer le marée de la phase lancastrienne. En temps de paix, Jeanne d'Arc a été utilisée à des fins d'enseignement et de formation; cependant, en cas d'urgence ou de crise, elle devait être devenue un croiseur d'hélicoptères pleinement capable. Vers la fin de sa vie de service, Jeanne d'Arc est devenue inapte au rôle en raison de la taille et du poids croissants des hélicoptères. La Jeanne d'Arc a été construite sous le nom de La Résolue, car son prédécesseur, la Jeanne d'Arc de 1930, était encore en service. Il a été rebaptisé Jeanne d'Arc en 1964. Le navire a été retiré en mai 2010 et désarmé en septembre 2010.
croiseur français_Jules_Ferry/croiseur français Jules Ferry :
Le Jules Ferry était le deuxième des trois croiseurs cuirassés de la classe Léon Gambetta construits pour la Marine Nationale française au cours de la première décennie du XXe siècle. Armés de quatre canons de 194 millimètres (7,6 pouces), les navires étaient beaucoup plus gros et plus puissamment armés que leurs prédécesseurs. Achevé en 1907, il est affecté à l'escadre de la Méditerranée où il sert de vaisseau amiral. Pendant la Première Guerre mondiale, Jules Ferry escorte des convois ainsi que les grands navires de la flotte française. Le navire a participé au blocus de la marine austro-hongroise dans la mer Adriatique jusqu'en 1917, date à laquelle il a commencé à servir de transport. Il est réduit en réserve peu avant la fin de la guerre fin 1918. Trois ans plus tard, le croiseur est réactivé ; elle a servi en Extrême-Orient en 1923–1925 et est retournée dans la réserve à son retour. Jules Ferry est vendu à la ferraille en 1928.
Croiseur français_Jules_Michelet/Croiseur français Jules Michelet :
Jules Michelet était un croiseur cuirassé de la Marine française, établi en 1904 et achevé en 1908. C'était un développement de la classe Léon Gambetta de croiseurs cuirassés, et était le seul représentant de son type. Il a servi pendant la Première Guerre mondiale avant d'être finalement coulé comme cible en 1937.
Croiseur français_Jurien_de_la_Gravi%C3%A8re/Croiseur français Jurien de la Gravière :
Le Jurien de la Gravière était un croiseur protégé construit pour la Marine française à la fin des années 1890 et au début des années 1900, le dernier navire de ce type construit en France. Destiné à servir outre-mer dans l'empire colonial français, le navire a été commandé pendant une période de conflit interne entre les partisans de différents types de croiseurs. On lui a donné une vitesse de pointe élevée pour lui permettre d'opérer comme un raider commercial, mais la forme de coque requise la rendait mal manœuvrable. Le navire a également souffert de problèmes avec ses machines de propulsion qui l'ont empêché d'atteindre sa vitesse de pointe prévue. Elle transportait une batterie principale de huit canons de 164 mm (6,5 po) et était protégée par un pont blindé incurvé de 35 à 65 mm (1,4 à 2,6 po) d'épaisseur. Achevé en 1903, Jurien de la Gravière a d'abord servi dans la division navale de l'Atlantique. Au cours des années suivantes, elle a effectué un certain nombre de visites aux États-Unis, notamment pour commémorer le centenaire de l'achat de la Louisiane en 1903. Lors d'une autre visite en 1906, elle est entrée en collision avec une goélette et l'a coulé. Jurien de la Gravière avait été transférée à la division de réserve de l'escadron méditerranéen en 1911, bien qu'elle ait été réactivée en 1913 pour servir dans la principale flotte française. Elle est restée en service actif jusqu'au début de la Première Guerre mondiale en août 1914, et après avoir assuré le passage en toute sécurité des unités de l'armée française d'Afrique du Nord vers la France, la flotte est entrée dans la mer Adriatique pour engager la marine austro-hongroise. Cela a abouti à la bataille d'Antivari , où Jurien de la Gravière a été détaché pour poursuivre le torpilleur en fuite SMS Ulan , bien qu'il n'ait pas réussi à le rattraper. Jurien de la Gravière n'a vu aucune autre action pendant le conflit. La flotte française se retire pour bloquer l'extrémité sud de l'Adriatique et les Austro-Hongrois refusent d'envoyer leur flotte pour les engager. Après l'entrée de l'Italie dans la guerre en 1915, les Français ont repris le contrôle du blocus et ont retiré le gros de la flotte. En octobre 1916, Jurien de la Gravière est détaché pour bombarder la côte sud anatolienne de l'Empire ottoman. Plus tard cette année-là, la flotte a été déplacée vers les eaux grecques pour tenter de contraindre le gouvernement grec neutre à rejoindre les Alliés, ce qu'ils ont finalement fait. Les pénuries de charbon ont empêché les Français de mener des opérations importantes en 1918. Après la guerre, Jurien de la Gravière a servi dans la division syrienne jusqu'au début de 1920, date à laquelle elle a été rappelée en France. Elle a ensuite été vendue à des démolisseurs de navires.
Croiseur français_Kl%C3%A9ber/croiseur français Kléber :
Le Kléber était l'un des trois croiseurs cuirassés de la classe Dupleix construits pour la Marine Nationale française dans la première décennie du XXe siècle. Conçus pour le service outre-mer et armés de huit canons de 164,7 millimètres (6,5 pouces), les navires étaient plus petits et moins puissamment armés que leurs prédécesseurs. Achevé en 1904, Kléber est d'abord affecté à l'Escadron de la Méditerranée avant d'être transféré à la Division de l'Atlantique trois ans plus tard, où il sert souvent de navire amiral. Le navire est réduit en réserve en 1909-1910 avant d'être envoyé en Extrême-Orient en 1911. Kléber rentre en France deux ans plus tard et est de nouveau mis en réserve. Alors que les tensions montaient peu avant le début de la Première Guerre mondiale en août 1914, le navire fut réactivé. Lorsque la guerre a commencé, elle a été chargée de défendre la navigation alliée dans la Manche et d'intercepter les navires allemands tentant de passer. Transféré en Méditerranée en 1915, Kléber joua un rôle mineur à la périphérie de la campagne de Gallipoli jusqu'à ce qu'une résurgence des raids commerciaux allemands oblige les Alliés à transférer davantage de croiseurs vers l'Atlantique pour protéger leur navigation à la mi-1916. Le navire a été jugé excédentaire par rapport aux besoins l'année suivante; sur le chemin du retour en France pour le déclassement, Kléber a heurté une mine navale le 27 juin et a coulé avec la perte de 38 membres d'équipage.
Croiseur français_La_Galissonni%C3%A8re/Croiseur français La Galissonnière :
La Galissonnière était le navire de tête de sa classe de six croiseurs légers construits pour la Marine Nationale (Marine française) dans les années 1930. Elle a été nommée en l'honneur de Roland-Michel Barrin de La Galissonière. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle a servi avec Vichy France.
Croiseur français_Lalande/Croiseur français Lalande :
Le Lalande était un croiseur protégé de la classe Troude construit pour la marine française à la fin des années 1880 et au début des années 1890. La classe a été construite dans le cadre d'un programme de construction destiné à fournir des éclaireurs pour la flotte de combat principale. Ils étaient basés sur la classe Forbin précédente, la principale amélioration étant l'ajout d'un blindage à la tourelle. Lalande a été construite dans les années 1880 et achevée à la fin de 1890. Elle était armée d'une batterie principale de quatre canons de 138 mm (5,4 po), protégée par un pont blindé de 41 mm (1,6 po) d'épaisseur, et avait une vitesse de pointe. de 20,5 nœuds (38,0 km/h ; 23,6 mph). Lalande a servi avec l'escadron méditerranéen pendant les premières années de sa carrière, avant d'être réduite à l'escadron de réserve en 1896 et de nouveau à la 2e catégorie de réserve. Elle retourna temporairement dans l'escadron méditerranéen en 1898 avant d'être à nouveau placée en réserve plus tard cette année-là, où elle resta jusqu'en 1905. L'année suivante, elle rejoignit l'escadron nord avant de retourner en Méditerranée pour 1907 et 1908. Elle a vu peu d'utilité par la suite et a été rayé du registre naval en 1912, puis vendu à des démolisseurs de navires pour la ferraille.
Croiseur français_Lamotte-Picquet/Croiseur français Lamotte-Picquet :
Le Lamotte-Picquet était un croiseur léger français de la classe Duguay-Trouin, lancé en 1924 et nommé en l'honneur du comte amiral du XVIIIe siècle Toussaint-Guillaume Picquet de la Motte.
croiseur français_Lap%C3%A9rouse/croiseur français Lapérouse :
Lapérouse était un croiseur de la marine française, navire de tête de sa classe, du nom de Jean-François de Galaup, comte de Lapérouse.
Croiseur français_Latouche-Tr%C3%A9ville/Croiseur français Latouche-Tréville :
Le Latouche-Tréville était l'un des quatre croiseurs cuirassés de la classe Amiral Charner construits pour la marine française (Marine Navale) dans les années 1890. Le navire a passé l'essentiel de sa carrière en Méditerranée et a été affecté à l'escadron international au large de l'île de Crète lors du soulèvement de 1897-1898 et de la guerre gréco-turque de 1897 pour protéger les intérêts et les citoyens français. Le Latouche-Tréville a passé la majeure partie de la première décennie du XXe siècle comme navire-école ou en réserve. Le navire a été remis en service avant le début de la Première Guerre mondiale en 1914 et a escorté des convois pendant plusieurs mois avant d'être affecté en Méditerranée orientale pour soutenir les opérations alliées et bombarder la côte contrôlée par les Ottomans. Elle a été légèrement endommagée en 1915 par un obus ottoman alors qu'elle fournissait un soutien de tir naval pendant la campagne de Gallipoli. Le Latouche-Tréville devient navire-école fin 1917 et est désarmé en 1919. Il est rayé de la liste de la marine l'année suivante et vendu à la ferraille en 1926.
Croiseur français_Lavoisier/croiseur français Lavoisier :
Le Lavoisier était un croiseur protégé de la Marine française construit dans les années 1890, le troisième et dernier membre de la classe Linois. Commandée dans le cadre d'un vaste programme de construction visant à contrer les flottes des rivaux de la France, la classe Linois était destinée à être utilisée avec les flottes françaises dans les eaux intérieures et dans l'empire colonial français. Lavoisier était armée d'une batterie principale de quatre canons de 138,6 mm (5,5 po), était protégée par un pont blindé de 40 mm (1,6 po) d'épaisseur et elle avait une vitesse de pointe de 20,5 nœuds (38,0 km/h ; 23,6 mph) . Le navire a passé les premières années de sa carrière à opérer avec l'escadron français de la Méditerranée, où il a mené des exercices d'entraînement. En 1903, elle a commencé une décennie de service avec la division navale de Terre-Neuve et d'Islande, où elle patrouillait généralement les lieux de pêche d'avril à septembre avant de retourner en France, où elle serait désarmée pour l'hiver. Ces déploiements comprenaient parfois des visites en Norvège, et quelques années, après son retour en France en septembre, Lavoisier serait transféré à la division navale marocaine jusqu'à ce que la prochaine saison de pêche nécessite son retour dans l'Atlantique Nord. Lavoisier était attachée au 2e Escadron léger dans la Manche au début de la Première Guerre mondiale en août 1914, mais elle n'y vit aucune action. Il est transféré en Méditerranée orientale en décembre 1915, opère brièvement avec la principale flotte française, puis effectue des patrouilles anti-sous-marines en Méditerranée occidentale. En 1917, elle est retournée à la division navale marocaine et l'année suivante, elle a été réaffectée à la division navale syrienne, où elle est restée jusqu'à la fin de la guerre. En avril 1919, Lavoisier est détaché de la division syrienne ; désarmé pour la dernière fois en août, il est rayé du Navy Directory au début de 1920 et vendu à des démolisseurs de navires.
croiseur français_Linois/croiseur français Linois :
Au moins deux navires de la Marine française ont porté le nom de Linois : le croiseur français Linois (1867), croiseur non protégé lancé en 1867 et sinistré en 1891 le croiseur français Linois (1894), croiseur de classe Linois lancé en 1894 et sinistré en 1910
Croiseur français_Linois_(1894)/Croiseur français Linois (1894) :
Le Linois était le navire de tête de sa classe de croiseurs protégés construits pour la Marine française dans les années 1890. La classe a été commandée dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte. À l'époque, la France était préoccupée par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande, et les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Linois était armée d'une batterie principale de quatre canons de 138,6 mm (5,5 po), était protégée par un pont blindé de 40 mm (1,6 po) d'épaisseur et elle avait une vitesse de pointe de 20,5 nœuds (38,0 km/h ; 23,6 mph) . Linois a été achevé en 1895 et a rejoint l'escadron méditerranéen l'année suivante, faisant partie de la force de croiseurs de la principale flotte de combat française. Elle a participé à des exercices d'entraînement au cours de cette période, qui comprenaient parfois des manœuvres conjointes avec l'escadron du Nord. Le navire a été impliqué dans une démonstration de force destinée à intimider l'Empire ottoman en 1902 pendant une période de tension avec la France. Linois est resté en service dans l'escadron jusqu'en 1905 et a été rayé du registre naval en 1910, puis démoli pour la ferraille.
Croiseur français_L%C3%A9on_Gambetta/croiseur français Léon Gambetta :
Léon Gambetta était le navire de tête de sa classe de trois croiseurs cuirassés construits pour la Marine nationale française ( Marine Nationale ) dans la première décennie du 20e siècle. Armés de quatre canons de 194 millimètres (7,6 pouces), les navires étaient beaucoup plus gros et plus puissamment armés que leurs prédécesseurs. Achevé en 1905, il est initialement affecté à l'escadre du Nord où il sert de vaisseau amiral. Le navire a été transféré à l'escadron méditerranéen ( Escadre de la Méditerranée ) en 1910 et y est resté pour le reste de sa carrière. Pendant la Première Guerre mondiale, Léon Gambetta escorte des convois ainsi que les navires capitaux de la flotte française. Elle a participé au blocus de la marine austro-hongroise dans la mer Adriatique. Le navire a été coulé par le sous-marin austro-hongrois U-5 en avril 1915 avec de lourdes pertes en vies humaines.
croiseur français_Marseillaise/croiseur français Marseillaise :
Le croiseur français Marseillaise peut faire référence au : croiseur français Marseillaise (1900), un croiseur de classe Gloire, lancé en 1900, frappé en 1929 et démoli en 1933 croiseur français Marseillaise (1935), un croiseur de classe La Galissonnière lancé en 1935 et coulé pendant la Seconde Guerre mondiale
Croiseur français_Marseillaise_(1900)/Croiseur français Marseillaise (1900) :
Le croiseur français Marseillaise était l'un des cinq croiseurs cuirassés de classe Gloire construits pour la Marine nationale (Marine nationale) au cours de la première décennie du XXe siècle. Équipés d'un armement mixte de canons de 194 millimètres (7,6 pouces) et de 164,7 millimètres (6,5 pouces), les navires ont été conçus pour servir avec la flotte de combat. Achevée en 1903, la Marseillaise rejoint ses navires jumeaux dans l'Escadron du Nord (Escadre du Nord). Il a été transféré à l'escadron méditerranéen (Escadre de la Méditerranée) l'année suivante où il a servi de vaisseau amiral, mais a rejoint l'escadron nord en 1908. Avec deux de ses sœurs, le navire est retourné en Méditerranée l'année suivante, mais a été affecté au 2e Escadron (2e Escadre) en 1911, les unités basées dans le nord-ouest de la France ayant été renommées. Lorsque la Première Guerre mondiale a commencé en août 1914, la Marseillaise a été chargée de patrouiller dans la Manche pour faire respecter le blocus de l'Allemagne et est restée à ce poste jusqu'en 1915. Elle a été transférée aux Antilles françaises plus tard cette année-là où elle a recherché des pillards commerciaux allemands et convois escortés pour le reste de la guerre. Le navire a servi dans la mer Baltique après la guerre et a été réduit en réserve en 1921. La Marseillaise a été utilisée comme navire-école d'artillerie en 1925-1929 et a été démolie en 1933.
Croiseur français_Marseillaise_(1935)/Croiseur français Marseillaise (1935) :
La Marseillaise était un croiseur léger français de la classe La Galissonnière. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle est restée avec Vichy France.
Croiseur français_Milan/Croiseur français Milan :
Le Milan était un croiseur non protégé de la marine française de la fin du XIXe siècle. Au moment de son achèvement, le Milan était considéré par plusieurs publications comme le navire de guerre le plus rapide au monde. Le navire de guerre était le dernier croiseur non protégé du service naval français, et la conception de Milan a influencé la construction de croiseurs protégés plus tard.
Croiseur français_Montcalm_(1900)/Croiseur français Montcalm (1900) :
Le Montcalm était un croiseur cuirassé de la classe Gueydon construit pour la marine française dans les années 1890. Le navire a servi pendant la Première Guerre mondiale dans le Pacifique. Après la guerre, le Montcalm est utilisé comme navire d'hébergement. En 1934, le navire est rebaptisé Trémintin et est coulé pendant la Seconde Guerre mondiale par des avions britanniques.
Croiseur français_Montcalm_(1935)/Croiseur français Montcalm (1935) :
Montcalm était un croiseur français de classe La Galissonnière, nommé en l'honneur de Louis-Joseph de Montcalm. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle a servi à la fois avec la France de Vichy et les Alliés. Il a été mis en service en 1937, mis hors service en 1957 et finalement mis au rebut en 1970.
Croiseur français_Na%C3%AFade/Croiseur français Naïade :
Le Naïade était un croiseur non protégé de la marine française construit à la fin des années 1870 et au début des années 1880.
Croiseur français_Pascal/Croiseur français Pascal :
Pascal était un croiseur protégé de la Marine française construit dans les années 1890, le deuxième et dernier membre de la classe Descartes. Les croiseurs de classe Descartes ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte. À l'époque, la France était préoccupée par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande, et les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Pascal était armé d'une batterie principale de quatre canons de 164,7 mm (6,5 po), était protégé par un pont blindé de 20 à 40 mm (0,79 à 1,57 po) d'épaisseur et était capable de naviguer à une vitesse maximale de 19 nœuds ( 35 km/h ; 22 mph). Pascal a eu une carrière assez courte et sans histoire ; après son entrée en service en 1897, elle fut envoyée en Indochine française, où elle servit pendant les sept années suivantes. Pendant cette période, elle fait partie de l'escadron français qui a répondu au soulèvement des boxeurs à Qing en Chine. En mauvais état en 1904, elle n'a plus été utilisée et a été rayée du registre naval en 1911, avant d'être démantelée.
croiseur français_Pluton/croiseur français Pluton :
Pluton était un croiseur rapide de pose de mines construit pour la marine française à la fin des années 1920. Elle a également pu transporter 1 000 soldats sur son pont de mine en tant que transport de troupes rapide. Peu de temps après son achèvement, il a été modifié et est devenu un navire-école d'artillerie, remplaçant le vieux croiseur blindé Gueydon. Peu de temps avant le début de la Seconde Guerre mondiale, elle est revenue à son rôle d'origine et la plupart de l'équipement d'entraînement au tir a été retiré. Elle a été envoyée à Casablanca, au Maroc français, lorsque la guerre a commencé à poser un champ de mines, mais la commande a été annulée un jour plus tard et elle a reçu l'ordre de débarquer ses mines navales. Elle a explosé lors de l'atterrissage de ses mines encore alimentées le 13 septembre 1939.
Croiseur français_Pothuau/croiseur français Pothuau :
Le croiseur français Pothuau était un croiseur cuirassé construit pour la marine française (Marine Navale) dans les années 1890. Il a passé la majeure partie de sa carrière active en Méditerranée avant de devenir un navire-école d'artillerie en 1906. Le navire a participé à la campagne de Kamerun au début de la Première Guerre mondiale avant d'être transféré dans la mer Rouge et l'océan Indien en 1916 où il a patrouillé et escorté. convois. Pothuau a cherché en vain l'océan Indien à la recherche du voleur commercial allemand Wolf à la mi-1917. Le navire a repris son rôle précédent après la guerre jusqu'à ce qu'il soit mis hors service en 1926 et vendu à la ferraille trois ans plus tard.
Croiseur français_Primauguet_(1924)/Croiseur français Primauguet (1924) :
Le Primauguet était un croiseur léger français de classe Duguay-Trouin construit après la Première Guerre mondiale. Lors de l'invasion anglo-américaine de l'Afrique du Nord française en 1942, il a été incendié et abandonné, après avoir été l'objet de tirs d'une flotte dirigée par le cuirassé Massachusetts. , et des attaques aériennes répétées par des bombardiers en piqué SBD Dauntless. Elle porte le nom du capitaine breton du XVe siècle Hervé de Portzmoguer, surnommé "Primauguet".
croiseur français_Protet/croiseur français Protet :
Le Protet était un croiseur protégé de la Marine française construit dans les années 1890, le deuxième et dernier membre de la classe Catinat. Les croiseurs de classe Catinat ont été commandés dans le cadre d'un programme de construction visant à renforcer la force de croiseurs de la flotte à un moment où le pays était préoccupé par la menace navale croissante des flottes italienne et allemande. Les nouveaux croiseurs étaient destinés à servir avec la flotte principale et outre-mer dans l'empire colonial français. Protet était armé d'une batterie principale de quatre canons de 164 mm (6,5 po), était protégé par un pont blindé de 25 à 60 mm (0,98 à 2,36 po) d'épaisseur et était capable de cuire à la vapeur à une vitesse maximale de 20 nœuds (37 km/h ; 23 mph). Après être entré en service en 1899, Protet a été envoyé dans l'océan Pacifique pour un long déploiement ; elle devait passer la majorité de sa carrière active dans la région. Pendant son séjour, elle a aidé à éteindre un incendie aux États-Unis en 1900 et a protégé les intérêts français en Colombie lors d'un conflit dans le pays en 1901. Le navire a finalement été rappelé en France en 1905. Elle a ensuite été affectée à l'école d'artillerie en tant que formation. navire en 1908 avant d'être rayé du registre naval en 1910 puis démantelé.
Croiseur français_Sfax/Croiseur français Sfax :
Le Sfax était un croiseur protégé construit pour la Marine française dans les années 1880. Elle a été le premier navire du type à être construit pour la marine française, qui était un développement des croiseurs antérieurs non protégés comme le Milan. Contrairement aux navires précédents, Sfax portait un pont blindé qui couvrait ses machines de propulsion et ses magasins de munitions. Destiné à être utilisé comme raider commercial en cas de guerre avec la Grande-Bretagne, Sfax était gréé en barque pour compléter ses moteurs lors de longs voyages à l'étranger. Elle était armée d'une batterie principale de six canons de 164 mm (6,5 po) et d'une variété d'armes plus légères. Sfax a eu une carrière relativement calme. Elle a passé la majeure partie de sa carrière à alterner entre les escadrons de la Méditerranée, du Nord et de la Réserve. Pendant cette période, elle était principalement occupée à diriger des exercices d'entraînement; alors qu'elle était dans l'escadron de réserve, elle n'a été maintenue en service qu'une partie de l'année. Elle a brièvement servi sur la station nord-américaine en 1899, mais en 1901, elle avait été réduite à la réserve. Elle a été rayée du registre naval en 1906 et par la suite démantelée.
Croiseur français_Suchet/Croiseur français Suchet :
Le Suchet était un croiseur protégé de la Marine française construit à la fin des années 1880 et au début des années 1890. Le navire a été commandé pendant le mandat de l'amiral Théophile Aube en tant que ministre français de la Marine, qui privilégiait une flotte centrée sur un grand nombre de croiseurs de différents types. Suchet et le navire similaire Davout reçurent l'ordre de remplir le rôle de croiseur moyen dans les plans de l'Aube; les deux croiseurs étaient censés être identiques, mais des problèmes lors de la construction de Davout ont forcé des changements de conception à Suchet, résultant en deux navires uniques plutôt qu'une seule classe. Suchet était armé d'une batterie principale de six canons de 164 mm (6,5 pouces) dans des montures individuelles et avait une vitesse de pointe de 20,4 nœuds (37,8 km / h; 23,5 mph). Après avoir terminé ses essais en mer en 1894, Suchet est affecté à l'escadron méditerranéen l'année suivante. Elle a participé aux cérémonies d'ouverture du canal de Bizerte plus tard cette année-là. Elle a continué à opérer avec l'unité jusqu'au début de 1897, lorsqu'elle a été envoyée à la division du Levant dans l'est de la Méditerranée. Le navire a été réaffecté à la division navale de l'océan Atlantique en 1900, et il a été l'un des premiers intervenants lors de l'éruption de la montagne Pelée en 1902 en mai, aidant à sauver les survivants de Saint-Pierre et de son port, ainsi que d'autres villes sur l'île de la Martinique. Au total, elle a évacué environ 1 200 personnes vers Fort-de-France. Le mois suivant, elle est impliquée dans un incident diplomatique mineur avec le Venezuela, où six Français ont été arrêtés ; L'intervention de Suchet obtint leur libération. Le navire retourna en France plus tard en 1902, où il fut placé en réserve. Rayé du registre naval en 1906, Suchet est démoli.
Croiseur français_Suffren / Croiseur français Suffren :
Le Suffren était le premier navire du deuxième groupe de croiseurs du Traité de 8 pouces et de 10 000 tonnes construits pour La Marine Nationale. Elle a passé l'entre-deux-guerres avec les deux croiseurs de classe Duquesne jusqu'à ce qu'elle soit envoyée en Indochine française. De retour en Méditerranée, elle rejoint les Duquesnes à Alexandrie. Elle y est internée avec les autres unités de la Marine Nationale. Elle est revenue à la guerre en 1943, passant son temps à Dakar en patrouille de blocus. Après la guerre, elle a aidé au retour des Français en Indochine jusqu'à sa mise en réserve en 1947. En réserve, elle a été utilisée comme carcasse d'entraînement et navire de caserne à Brest. Elle fut rebaptisée Océan en 1963 et définitivement frappée en 1972. Elle fut nommée en l'honneur de l'Amiral Pierre André de Suffren de Saint Tropez (1729 - 1788) considéré par de nombreux historiens comme la version française de l'Amiral Horatio Nelson. Il faisait partie de l'escadron de l'amiral D'Estang au large de l'Amérique du Nord et des Antilles en 1778 et 1779. Le domaine de ses plus grandes réalisations fut contre les Britanniques dans l'océan Indien entre 1782 et 1783. Elle était le sixième navire à porter son nom.
Croiseur français_Sully/Croiseur français Sully :
Le croiseur français Sully était l'un des cinq croiseurs cuirassés de la classe Gloire construits pour la Marine nationale française au début des années 1900. Équipés d'un armement mixte de canons de 194 millimètres (7,6 pouces) et de 164,7 millimètres (6,5 pouces), les navires ont été conçus pour servir avec la flotte de combat. Achevé en 1904, Sully rejoint ses navires jumeaux dans l'escadron du Nord ( Escadre du Nord ), bien qu'il soit transféré en Extrême-Orient peu de temps après. Le navire a heurté un rocher dans la baie de Hạ Long, en Indochine française en 1905, huit mois seulement après son achèvement, et a été une perte totale.
Croiseur français_Sucouf/Croiseur français Surcouf :
Le Surcouf était le deuxième croiseur protégé de la classe Forbin construit pour la Marine française à la fin des années 1880 et au début des années 1890. Les croiseurs de classe Forbin ont été construits dans le cadre d'un programme de construction destiné à fournir des éclaireurs pour la flotte de combat principale. Ils étaient basés sur l'ancien croiseur non protégé Milan, avec l'ajout d'un pont blindé pour améliorer leur utilité au combat. Ils avaient une vitesse de pointe élevée pour l'époque, à environ 20 nœuds (37 km / h; 23 mph), et ils transportaient une batterie principale de quatre canons de 138 mm (5,4 pouces). Le navire a connu peu d'activité dans les années 1890, étant affecté à l'escadron du Nord de 1893 à 1895, temporairement réactivé pour participer à des exercices d'entraînement avec l'unité en 1897, puis affecté à nouveau à l'escadron de 1898 à 1899. Au cours de ses périodes d'activité service, elle était principalement occupée par des manœuvres d'entraînement. Surcouf est retourné à l'escadron du Nord en 1901 et y a servi jusqu'en 1908, à l'exception d'un bref passage en Asie de l'Est en 1902. Elle a vu peu d'activité par la suite, jusqu'à ce qu'elle soit envoyée dans le golfe de Guinée à la fin de la Première Guerre mondiale. Le navire a finalement été retiré du registre naval en 1921 et démantelé.
croiseur français_Tage/croiseur français Tage :
Le Tage était un croiseur protégé construit pour la marine française dans les années 1880, le deuxième navire de ce type construit pour la flotte française. La conception était basée sur le croiseur précédent, le Sfax, et comme ce navire, le Tage était destiné à être utilisé comme raider commercial pour attaquer la marine marchande. En tant que telle, elle transportait un gréement de barque pour compléter ses machines à vapeur pour les longs voyages outre-mer. Tage était armé d'une batterie principale de huit canons de 164 mm (6,5 pouces) et avait un pont blindé incurvé de 51 à 56 mm (2 à 2,2 pouces) d'épaisseur. Tage a passé les années 1890 à opérer en mer Méditerranée, soit dans le cadre de l'escadron méditerranéen actif, soit dans l'escadron de réserve, qui était généralement activé pour des exercices d'entraînement annuels avec le reste de la flotte. Le navire a été modernisé en 1900, ce qui comprenait l'installation de nouvelles chaudières, le retrait de son gréement et d'autres modifications. Elle a opéré avec la division navale de Terre-Neuve et d'Islande et plus tard avec l'escadron de l'Atlantique au début des années 1900. Le Tage a finalement été rayé du registre naval en 1910, puis démantelé pour la ferraille.
Croiseur français_Tourville_(1926)/Croiseur français Tourville (1926) :
Tourville était le deuxième navire des croiseurs de la classe Duquesne de la marine française. Pendant l'entre-deux-guerres, elle a servi en Méditerranée tout en effectuant des croisières périodiques pour montrer le drapeau. Pendant la guerre, il est en service de blocus au milieu de l'Atlantique puis en Méditerranée. Elle a été internée pendant trois ans à Alexandrie, rejoignant l'effort de guerre en 1943. De nouveau affectée au devoir de blocus dans le centre de l'Atlantique à Dakar. Après la guerre, elle a aidé à la restauration de la domination coloniale française en Indochine française jusqu'à sa mise en réserve en 1947. Elle est restée en réserve jusqu'à sa condamnation pour élimination en 1962. Elle a été nommée en l'honneur d'Anne-Hilarion de Costentien, comte de Tourville (1642 - 1701 ) qui a servi avec distinction sous le roi Louis XIV. Il a combattu contre les Britanniques et les Néerlandais lors des batailles de Beachy Head ( français : Beveziers ) et Barfluer . Le 27 juin 1693, il bat un convoi anglais commandé par George Rooke au cap St Vincent et le fait maréchal de France.
Croiseur français_Troude/Croiseur français Troude :
Le Troude était un croiseur protégé de la Marine française, le navire de tête de la classe Troude. La classe a été construite dans le cadre d'un programme de construction destiné à fournir des éclaireurs pour la flotte de combat principale. Ils étaient basés sur la classe Forbin précédente, la principale amélioration étant l'ajout d'un blindage à la tourelle. Troude a été construit dans les années 1880 et a été achevé à la fin de 1890. Elle était armée d'une batterie principale de quatre canons de 138 mm (5,4 po), protégée par un pont blindé de 41 mm (1,6 po) d'épaisseur, et avait une vitesse de pointe. de 20,5 nœuds (38,0 km/h ; 23,6 mph). Troude a passé la majeure partie des années 1890 dans l'escadron méditerranéen et en 1897, elle a été transférée à la division Levant. Là, elle a brièvement servi de vaisseau amiral divisionnaire et a ensuite participé à l'intervention internationale dans la révolte crétoise en 1897–1898. En 1901, Troude était en réserve, mais elle fut réactivée en 1903 pour une tournée avec l'Escadron de l'Atlantique. Elle a patrouillé des pêcheries au large des côtes de l'Amérique du Nord en 1904 avant de retourner à l'escadron de l'Atlantique en 1905. Elle a été rayée du registre naval en 1907 ou 1908 et par la suite démantelée.
Croiseur français_Victor_Hugo/Croiseur français Victor Hugo :
Le croiseur français Victor Hugo était le dernier des trois croiseurs cuirassés de la classe Léon Gambetta construits pour la Marine nationale française au cours de la première décennie du XXe siècle. Armés de quatre canons de 194 millimètres (7,6 pouces), les navires étaient beaucoup plus gros et plus puissamment armés que leurs prédécesseurs. Achevée en 1907, elle est affectée à l'escadron de la Méditerranée ( Escadre de la Méditerranée ). Pendant la Première Guerre mondiale, Victor Hugo a escorté des convois ainsi que les navires capitaux de la flotte française. Le navire a participé au blocus de la marine austro-hongroise dans la mer Adriatique jusqu'en 1917, date à laquelle il a été réduit en réserve. Quatre ans plus tard, le croiseur a été réactivé ; elle a servi en Extrême-Orient en 1922-1923 et est retournée en réserve à son retour. Victor Hugo a été vendu à la ferraille en 1930.
Croiseur français_Waldeck-Rousseau/Croiseur français Waldeck-Rousseau :
Le Waldeck-Rousseau était un croiseur cuirassé construit pour la Marine française dans la première décennie du XXe siècle. C'était le deuxième et dernier membre de la classe Edgar Quinet, la dernière classe de croiseurs cuirassés construits par la Marine française. Il fut déposé à l'Arsenal de Lorient en juin 1906, lancé en mars 1908 et mis en service en août 1911. Armé d'une batterie principale de quatorze canons de 194 millimètres (7,6 pouces), il était plus puissant que la plupart des autres croiseurs blindés, mais elle était entrée en service plus de deux ans après que le premier croiseur de bataille - le HMS Invincible - avait rendu le croiseur blindé obsolète. Waldeck-Rousseau s'est néanmoins avéré être un cheval de bataille de la flotte méditerranéenne française. Après le déclenchement de la Première Guerre mondiale, Waldeck-Rousseau a rejoint la principale flotte française qui a bloqué l'extrémité sud de l'Adriatique pour empêcher la marine austro-hongroise d'opérer en Méditerranée. En octobre et novembre, Waldeck-Rousseau a été attaqué deux fois par des sous-marins austro-hongrois mais il s'en est sorti indemne lors des deux combats. Elle a ensuite alterné entre des séjours dans le sud de l'Adriatique et des patrouilles dans l'est de la Méditerranée une fois que l'Empire ottoman a rejoint la guerre en novembre. Après la guerre, les Britanniques et les Français sont intervenus dans la guerre civile russe ; cela comprenait un déploiement naval majeur dans la mer Baltique, qui comprenait Waldeck-Rousseau. Peu de temps après son arrivée, son équipage se mutine en raison des mauvaises conditions de vie et du désir de rentrer en France. Les troubles ont été rapidement réprimés et Waldeck-Rousseau s'est joint à l'effort pour soutenir les Blancs contre les bolcheviks rouges. En mai 1929, le navire est envoyé en Indochine française pour servir de navire amiral de l'escadre d'Extrême-Orient. Elle y resta jusqu'en mai 1932, date à laquelle elle retourna en France, où elle fut désarmée et encaissée. Waldeck-Rousseau a finalement été mis au rebut en 1941–44.
Croiseur français_%C3%89mile_Bertin/Croiseur français Émile Bertin :
Émile Bertin était un croiseur léger rapide français nommé d'après Louis-Émile Bertin, un architecte naval du XIXe siècle. Elle a été conçue pour fonctionner à la fois comme poseur de mines et comme chef de flottille de destroyers. La conception a servi de base aux croiseurs français légers et lourds ultérieurs, en particulier la classe de croiseurs légèrement plus grande La Galissonnière . Ce fut le premier navire de guerre français à utiliser des supports triples pour les canons.
manchette française/manchette française :
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Cuisine française/Cuisine française :
La cuisine française ( français : Cuisine française ) est les traditions et pratiques culinaires de la France . Il a été influencé au cours des siècles par les nombreuses cultures environnantes d'Espagne, d'Italie, de Suisse, d'Allemagne et de Belgique, en plus des traditions alimentaires des régions et des colonies de France. Au XIVe siècle, Guillaume Tirel, cuisinier de la cour dit "Taillevent", écrit Le Viandier, l'un des premiers recueils de recettes de la France médiévale. Au XVIIe siècle, les chefs François Pierre La Varenne et Marie-Antoine Carême ont dirigé des mouvements qui ont éloigné la cuisine française de ses influences étrangères et développé le style indigène de la France. Le fromage et le vin font partie intégrante de la cuisine. Ils jouent différents rôles au niveau régional et national, avec de nombreuses variantes et lois d'appellation d'origine contrôlée (AOC). Le tourisme culinaire et le Guide Michelin ont contribué à familiariser les roturiers avec la cuisine bourgeoise des élites urbaines et la cuisine paysanne des Campagne française à partir du 20ème siècle. De nombreux plats qui étaient autrefois régionaux ont proliféré dans des variations à travers le pays. La connaissance de la cuisine française a contribué de manière significative aux cuisines occidentales. Ses critères sont largement utilisés dans les commissions scolaires de cuisine occidentale et dans l'enseignement culinaire. En novembre 2010, la gastronomie française a été inscrite par l'UNESCO sur ses listes du "patrimoine culturel immatériel" mondial.
Courbe française/Courbe française :
Une courbe française est un modèle généralement fabriqué à partir de métal, de bois ou de plastique composé de nombreux segments différents de la spirale d'Euler (alias la courbe clothoïde). Il est utilisé dans le dessin manuel et dans le design de mode pour dessiner des courbes lisses de rayons variables. La courbe est placée sur le matériel de dessin et un crayon, un couteau ou un autre instrument est tracé autour de ses courbes pour produire le résultat souhaité. Ils ont été inventés par le mathématicien allemand Ludwig Burmester et sont également connus sous le nom d'ensemble de Burmester (courbe).
Cutter français_Clairvoyant_(1780)/Cutter français Clairvoyant (1780) :
Clairvoyant était un coupeur de 14 canons de classe Mutin de la marine française.
Cotre français_Espion / Cotre français Espion :
Le cotre français Espion était un cotre lancé en 1781. Les Britanniques l'ont capturée et l'ont emmenée en 1782 dans la Royal Navy sous le nom de HMS Espion. La Royal Navy l'a vendu en 1783.
Cutter français_L%C3%A9zard_(1781)/Cutter français Lézard (1781):
Lézard était un cotre de classe Cerf de 16 canons de la marine française. Elle a été construite en 1781, et a participé au théâtre indien de la guerre anglo-française. Elle a été capturée par le HMS Sultan de 74 canons en octobre 1782 à Trinquebar, puis est revenue en France.
Cutter français_Mutin_(1778)/Cutter français Mutin (1778):
Mutin était un cotre de 14 canons de la marine française, le navire de tête de la classe Mutin de cinq cotres navals. Elle a été lancée en 1778 et la Royal Navy l'a capturée l'année suivante, la mettant en service en tant que HMS Mutine. La Royal Navy l'a rebaptisé HMS Pigmy en 1798. Il a été perdu en 1805.
Cutter français_Pandour_(1780)/Cutter français Pandour (1780):
Pandour était un brick français de 14 canons lancé en 1780 comme cotre. La Royal Navy l'a capturée en décembre 1795 et l'a mise en service sous le nom de Pandora (ou Pandour), mais elle a sombré en juin 1797.
Cutter français_Renard_(1812)/Cutter français Renard (1812):
Le Renard était un cotre lancé en 1812 et armé et propriété de Robert Surcouf. C'était le huitième et dernier navire corsaire de Surcouf. Renard a navigué sous les ordres du capitaine Aimable Sauveur jusqu'au 23 août 1813, date à laquelle il a eu besoin d'un remplaçant. Le commandement revient alors à Emmanuel Leroux-Desrochettes. Le 9 septembre 1813, à partir de 17 heures et durant toute la nuit, Renard engage avec succès la goélette britannique de 10 canons HMS Alphea, avec un équipage de 35 marins. Le combat a été intense et sanglant jusqu'à 3 h 30 le lendemain matin, lorsque l'Alphea a pris deux coups directs de Renard à (vraisemblablement) la poudrière et a explosé. Il n'y a pas eu de survivants signalés. Renard a perdu cinq hommes tués et 31 blessés, dont son capitaine, qui a eu un bras abattu et est décédé plus tard des suites de ses blessures. Renard rentre en France avec seulement 13 hommes valides. Alphea avait transporté un équipage de 41 hommes.
Cutter français_T%C3%A9m%C3%A9raire_(1780)/Cutter français Téméraire (1780):
Téméraire était un cotre aviso de la marine française, mis en service à Lorient en décembre 1780.
Déclaration de guerre française à l'Allemagne (1939)/Déclaration de guerre française à l'Allemagne (1939) :
Le 3 septembre 1939, deux jours après l'invasion allemande de la Pologne, la France déclara la guerre à l'Allemagne nazie conformément à son traité défensif avec la Pologne, lorsque l'ultimatum de la France à l'Allemagne, lancé la veille, expira à 17h00. Cela s'est produit quelques heures après la déclaration de guerre du Royaume-Uni à l'Allemagne.
Manifestation française_du_15_mai_1848/Manifestation française du 15 mai 1848 :
La manifestation française du 15 mai 1848 est un événement qui se joue, pour l'essentiel, dans les rues de Paris. Il visait à inverser les résultats d'une élection des députés de la Deuxième République à l'Assemblée constituante. Il est difficile de dire avec précision si ce phénomène doit être qualifié de manifestation, d'émeute, d'invasion, de rébellion ou de tentative de coup d'État. Néanmoins, cela semble avoir été en grande partie imprévu, pas particulièrement sanglant, et incontestablement un échec.
Denier français/denier français :
Le denier ( latin : denarius ; abbr. D. ) ou penny était une pièce de monnaie médiévale qui tire son nom de la pièce de monnaie franque émise pour la première fois à la fin du VIIe siècle; en anglais, il est parfois appelé un penny en argent. Son apparition représente la fin de la monnaie d'or qui, au début de la domination franque, était soit romaine (byzantine) soit "pseudo-impériale" (frappée par les Francs à l'imitation de la monnaie byzantine). L'argent sera désormais la base de la monnaie franque. Le denier a été frappé en France et dans certaines parties de la péninsule italienne pendant tout le Moyen Âge, dans des États tels que le patriarcat d'Aquilée, le Royaume de Sicile, la République de Gênes, la République de Sienne et l'État croisé Royaume de Jérusalem, entre autres.
Départements français_d'Espagne/Départements français d'Espagne :
Les départements français d'Espagne étaient des subdivisions territoriales du territoire conquis en Catalogne en 1812 par le Premier Empire français au début de la guerre de la Péninsule. Leur annexion par la France n'a jamais été officiellement validée même par la France elle-même et ils ont été officiellement supprimés le 10 mars 1814 avant d'être rendus à l'Espagne.
Destroyer français_Aigle / Destroyer français Aigle :
Le destroyer français Aigle était le navire de tête de sa classe de destroyers (contre-torpilleurs) construits pour la marine française dans les années 1920.
Destroyer français_Albatros / Destroyer français Albatros :
Le destroyer français Albatros était l'un des six destroyers de classe Aigle (contre-torpilleurs) construits pour la marine française dans l'entre-deux-guerres. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le 14 juin 1940, elle a participé à l' opération Vado , un raid de croiseurs et destroyers français de Toulon pour bombarder des cibles italiennes à Gênes et Savone ; la batterie côtière "Mameli" l'a frappée avec un obus de 152 mm (6 po), qui a pénétré dans sa caserne de pompiers et tué douze marins. Après que la France se soit rendue à l'Allemagne, Albatros a servi dans les forces navales de Vichy France. Elle était à Casablanca au Maroc français lorsque les forces alliées ont envahi l'Afrique du Nord française lors de l' opération Torch en novembre 1942. Résistant à l'invasion, elle a été gravement endommagée au large de Casablanca le 8 novembre 1942 en action avec les forces de la marine américaine lors de la bataille navale de Casablanca quand elle a essuyé le feu des croiseurs lourds USS Augusta , USS Wichita et USS Tuscaloosa , puis a été bombardé par des avions du porte-avions d'escorte USS Suwanee . Gravement endommagé, il est échoué pour l'empêcher de couler. Après la Seconde Guerre mondiale, elle a été réparée et remise en service.
destroyer français_Alg%C3%A9rien/destroyer français Algérien :
Le destroyer français Algérien était l'un des douze destroyers de classe Arabe construits pour la marine française au Japon pendant la Première Guerre mondiale.
Destroyer français_Amiral_S%C3%A9n%C3%A8s/Destructeur français Amiral Sénès :
Le destroyer français Amiral Sénès était un grand torpilleur de type 1916 (Großes Torpedoboot) de la marine impériale allemande pendant la Première Guerre mondiale. Construit sous le nom de SMS S113, il fut le premier navire de sa classe à être posé, mais le deuxième et dernier navire de sa classe à lancer.
Destroyer français_Annamite/Annamite destroyer français :
Le destroyer français Annamite était l'un des douze destroyers de classe Arabe construits pour la marine française au Japon pendant la Première Guerre mondiale.
Destroyer français_Arabe / Destroyer français Arabe :
Le destroyer français Arabe était l'un des douze destroyers de classe Arabe construits pour la marine française au Japon pendant la Première Guerre mondiale.
Destroyer français_Arbal%C3%A8te/Destructeur français Arbalète :
L'Arbalète était l'un des 20 destroyers de la classe Arquebuse construits pour la Marine française dans la première décennie du XXe siècle.
destroyer_Arc français/Arc destroyer français :
L'Arc était l'un des 20 destroyers de la classe Arquebuse construits pour la marine française dans la première décennie du XXe siècle.
Destroyer français_Arquebuse / Destroyer français Arquebuse :
L'Arquebuse était le nom de navire de sa classe de 20 destroyers construits pour la Marine française dans la première décennie du 20e siècle.
Destroyer français_Aspirant_Herber / Destroyer français Aspirant Herber :
L'Aspirant Herber était l'un des sept destroyers de classe Spahi construits pour la marine française dans la première décennie du XXe siècle.
Destroyer français_Aventurier / Destroyer français Aventurier :
Le destroyer français Aventurier était le nom du navire de sa classe de quatre destroyers qui a été construit pour la marine argentine au début des années 1910. Les navires ont été repris par la Marine française après le début de la Première Guerre mondiale en août 1914. Il a été démoli en 1940.
Destroyer français_Baliste / Destroyer français Baliste :
Le Baliste était l'un des 20 destroyers de la classe Arquebuse construits pour la marine française dans la première décennie du XXe siècle.
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